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INTRODUCTION

hp367Bienvenue dans le monde secret d'Harry Potter

 

Ce blog est dédié aux histoires érotiques, ou lemons, sur le monde d'Harry Potter. Les personnages et l'univers général appartiennent à J.K. Rowling. Seules les apports des auteurs sont à apporter à leurs crédits.

 

Ce blog n'a aucune vocation pécuniaire, il s'agit de laisser libre cours à l'imagination des auteurs et au respect de toutes les formes de sexualités. Tout le monde peut participer au développement du blog en envoyant une histoire à poudlardsecret@laposte.net.

 

Les commentaires dénigrant ou insultant seront supprimer sans sommation.

 

Merci et bonne lecture.

 

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Mercredi 6 avril 3 06 /04 /Avr 19:09

Une contribution de SnakeBZH

 

 

CHAPITRE III : DECOUVERTE SENTIMENTALE

 

La journée avait si bien commencé. Megan Jones, élève de première année à Poufsouffle ne souhaitait que la passer en s’amusant avec ses amies et condisciples Susan Bones et Hannah Abbot. Mais voilà, cet imbécile venait encore lui chercher des noises. Que lui avait-elle fait pour mériter ça ? Rien sûrement. Il l’avait choisie pour être sa cible durant les premiers jours de l’année scolaire. Elle espérait que ce ne serait pas ainsi pendant l’année prochaine. Car, heureusement, il ne lui restait qu’un an à faire à Poudlard. Que lui faisait-il me demanderez-vous ?

« Tiens, voilà la miss Prudjones.

-Tu ne vas pas me lâcher de l’année White, répliqua aussi sec Megan.

-Il ne me reste plus qu’une journée avant la trêve estivale. J’en profite. A tout’, miss Prudjones. »

Miss Prudjones. Il ne cessait pas de l’appeler ainsi. Tout simplement parce qu’elle s’était offusquer alors qu’il parlait de ce qu’il avait fait durant ses vacances en Espagne. Il se vantait d’avoir couché avec plusieurs filles qu’il qualifiait de bombes sexuelles. Et même d’avoir passé une torride nuit avec trois filles en même temps. Ne supportant pas ses rires et son vocabulaire salace, Megan, qui tentait de travailler à un devoir à la table d’à côté, lui avait dit sa façon de penser. Et depuis, il l’appelait ainsi.

Sans réellement y croire, Megan continua sa visite en espérant qu’elle ne le croiserait plus. Mais il était toujours là. Où qu’elle aille. A croire qu’il la suivait. Mais force était de constater qu’il était souvent là où elle souhaitait se rendre avant qu’elle n’y arrive.

« A croire que vous êtes liés par quelque chose, dit Hannah.

-Arrête, je préfèrerais sortir avec un troll, répliqua Megan.

-Pourquoi un troll ? sourit White en sautant sur l’occasion. Tu n’arrives pas à trouver plus beau ?

-Au moins un troll aurait de meilleures manières que toi.

-Je le plains par contre. Coincée comme tu es, il va sûrement te quitter très vite.

-Tout le monde ne pense pas au sexe tout le temps.

-Oh que si ! Mais personne n’ose en parler.

-Ne prends pas ton cas pour une généralité. Ce n’est pas parce que monsieur a une bite à la place du cerveau que c’est le cas de tout le monde. J’en ai ras le bol ! Je rentre. »

Laissant sur place ses amies et White, Megan partit d’un pas rapide vers la tour de Poufsouffle.

Megan s’enferma dans sa chambre. Ce White lui avait gâché sa journée. Et pourtant, il était pas mal du tout. Megan ne le dirait jamais à ses amies mais elle le trouvait physiquement attirant. Le problème, c’était son comportement et la façon dont il traitait les filles. A l’entendre, ce n’étaient que des objets seulement utiles pour assouvir ses pulsions sexuelles. Ne pensait-il pas une seule seconde que les filles puissent avoir des sentiments ? Ou simplement qu’elles n’étaient pas faite pour seulement donner du plaisir aux garçons mais également en recevoir ?

Les heures passèrent et Megan sentit la faim approcher. Elle se décida à sortir de son isolation pour se rendre à la Grande Salle et prendre son repas. Elle était à peine sortit de son dortoir qu’elle entendit des voix dans la salle commune. Apparemment une fille qui gloussait. Mais ce fut l’autre voix qui figea la gamine sur place. Ce ne pouvait être que lui : Sam White. Il avait encore séduit une fille et allait sûrement tenter de la glisser dans son lit. Il faut dire que c’était le meilleur jour pour ça. Tous les Poufsouffle avaient déserté les dortoirs et la salle commune. Megan se pensa maudite. Et puis qu’importe, elle ne ferait que passer.

Elle allait se lancer dans l’escalier pour descendre à la salle commune et sortir de la tour quand elle remarqua que plus aucun son ne lui parvenait. Elle décida de changer de tactique et de s’approcher discrètement pour voir ce qui se passait. Elle se baissa pour profiter au maximum de la protection du garde-corps de pierre. Elle tendit l’oreille et n’entendit pas plus de paroles. Par contre, des soupirs lui parvinrent. Elle osa alors faire passer ses yeux au dessus du garde-corps. Elle manqua de peu de pousser une exclamation de surprise. White était assis sur un des canapés de la salle commune. Et une fille de la même année que lui s’était penchée sur son bas-ventre et lui prodiguait une fellation. Une main de White avait relevé la jupe de l’adolescente et massait ses fesses sensuellement. La fille devait être douée car White, la tête en arrière et les yeux fermés, souriait de plaisir.

Megan savait qu’elle ne devrait pas regarder. Elle devrait signaler sa présence et sa désapprobation devant le fait d’effectuer un tel acte dans une salle où n’importe qui pourrait les surprendre. Mais elle resta immobile à les observer. La main de White écarta la culotte de la fille et agaça son bouton d’amour. La fille se mit à gémir sans lâcher le membre de ses lèvres. Megan sentait la chaleur lui envahir le bas-ventre. Elle ne résista pas et descendit sa main entre ses cuisses. Elle fut surprise de découvrir que sa culotte était trempée, elle ne regardait que depuis quelques minutes à peine. Elle glissa sa main sous le tissu blanc et joua avec son clitoris. Elle ferma même les yeux un instant pour en apprécier pleinement la montée de plaisir.

Mais quand elle les rouvrit, elle crut que son cœur arrêtait de battre. White avait ouvert les yeux et la fixait. Elle resta immobile, incapable du moindre mouvement. Mais ce qui la troubla le plus, c’était qu’il ne la regardait pas comme d’habitude. Megan vit même de la tristesse et de la honte dans son regard.

« Qu’est-ce qui t’arrive ? demanda la fille en cessant sa tendre caresse.

-Quoi ? questionna White sans comprendre.

-Bah regarde. »

White suivit son regard pour découvrir qu’il avait débandé. Cela ne lui était jamais arrivé avant. Il parut un instant déboussolé mais finit par sourire étrangement.

« Que veux-tu ? finit-il par dire. Ça ne doit pas être le moment.

-Ah oui ! s’enflamma la fille. Et moi je fais quoi ? Je vais aux toilettes et je me branle ?

-Je pense que c’est en effet la meilleure option pour toi.

-Enflure ! hurla-t-elle en le giflant. »

La fille remit sa culotte et sa jupe en place et sortit sans se retourner.

White resta silencieux, la queue à l’air durant un moment.

« Tu peux descendre miss Prudjones, invita-t-il. A moins que tu ne préfères rester là-haut où je ne peux pas t’atteindre ? »

Megan ne savait pas quoi faire. Elle luttait entre retourner dans sa chambre et courir hors de la tour de Poufsouffle. Mais elle voulait aussi savoir ce qui c’était passé. Pourquoi un type se décrivant lui-même comme un étalon venait de débander en pleine action ? Et puis, elle ne pouvait oublier l’effet que ce spectacle lui avait fait. Ses doigts étaient encore moites de son humidité intime.

Elle descendit lentement les escaliers. White avait rangé son engin. Il lui souriait. Mais pas comme d’habitude. Son sourire était presque tendre. Elle s’assit sur un fauteuil en face de lui. Elle osait à peine le regarder.

« Je pensait qu’il n’y avait personne, dit-il. Et même, tu es la dernière personne que j’aurais aimé me voir en une telle position.

-Pourquoi ? questionna-t-elle.

-Parce que maintenant, je vais devoir t’entendre me parler des bonnes mœurs. Vas-y, je t’écoute. »

C’est vrai que normalement elle lui aurait dit qu’il ne fallait pas prendre la salle commune pour un baisodrome ou les filles pour des jouets. Mais elle n’y arrivait pas. Elle se penserait hypocrite de dire ça alors qu’elle était entrain de se masturber en les regardant.

« Je t’ai connue plus bavarde miss Prudjones, lança-t-il.

-Ne m’appelle pas comme ça ! s’écria Megan.

-Alors montre-moi que tu ne mérites pas un tel surnom.

-Je ne veux pas faire partie de ton tableau de chasse.

-Pas besoin. Viens juste t’asseoir sur le canapé à côté de moi. On sera mieux pour parler. »

C’était comme un défi. Elle se leva en le fusillant du regard et vint s’asseoir à un mètre de lui.

Sans le vouloir, ses yeux se portèrent sur son sexe maintenant caché. Elle osa poser la question qui lui brûlait les lèvres :

« Qu’est-ce qui s’est passé ?

-A propos de quoi ? répliqua White. »

Elle était sûre qu’il faisait exprès de ne pas comprendre ce de quoi elle parlait. Juste pour l’entendre le lui dire.

« Tu sais bien, continua-t-elle.

-Non je ne vois pas, assura-t-il.

-Pourquoi tu… ?

-Pourquoi je… ?

-Pourquoi tu n’es pas allé jusqu’au bout avec elle ?

-Elle ne m’intéresse pas vraiment. C’est juste une petite chaudasse.

-Et c’est juste pour ça que tu as… ?

-Quoi ?

-Que ton… ?

-Tu sais finir tes questions parfois ?

-C’est pour ça que ton sexe est redevenu mou ? »

Megan n’osa pas le regarder. Elle était rouge de honte d’avoir dit ça.

White ne savait pas quoi répondre. C’était vraiment la première fois que ça lui arrivait. Il ne savait pas pourquoi il avait débandé mais il savait quand. Quand il avait ouvert les yeux et vu Megan en haut de l’escalier. Normalement, cela ne le gênait pas d’être vu pendant l’acte sexuel. Mais dans son cas, il ne voulait pas qu’elle le voit le faire avec n’importe qui. Il devait se rendre à l’évidence que cette gamine lui faisait faire n’importe quoi. Il passait parfois des heures à espérer entrapercevoir ses longs cheveux noirs voleter dans les couloirs. Et pourtant, ce n’était qu’une petite fille et lui serait bientôt un homme. Il aurait dix-sept ans à la fin du mois d’août. Il ne voulait pas lui dire mais par contre, il voulait savoir ce qu’elle avait ressenti en le voyant se faire sucer.

« Et toi, tu n’as pas mouillé en nous voyant ainsi ? demanda-t-il.

-Je… je…balbutia-t-elle.

-Tiens tiens ! Est-ce que miss Prudjones commencerait à s’ouvrir aux plaisirs charnels ?

-Non je…

-Lorsque je t’ai vu, tu avais les yeux fermés. C’était pour mieux ressentir la chaleur envahir ton corps ?

-Non je…

-Je suis sûr que ta culotte est encore humide.

-Arrête, je…

-Et tu as dû y glisser ta main. Voyons ça. »

Megan aurait voulu résister mais White était bien plus fort qu’elle. Il lui saisit la main et la tira à son visage. Il sentit, fermant les yeux pour en apprécier le parfum. Il sourit.

« Ça sent bon la mouille, dit-il doucement. »

Megan allait lui dire de la lâcher ou retirer sa main d’un coup mais elle se contenta de rougir quand White commença à lui suçoter les doigts tendrement. Malgré tout ce que lui avait dit le garçon durant l’année, elle ne voulait pas que ce moment s’arrête. Elle était surprise qu’il puisse se montrer aussi doux. Sentir ses lèvres sur ses doigts lui fit un effet auquel elle ne s’attendait pas. Elle sentit de nouveau la chaleur lui envahir le bas-ventre et sa culotte devenir de plus en plus humide. Elle ne pouvait plus détacher ses yeux des lèvres de White. Elle ne désirait qu’une chose, que sa langue remplace ses doigts.

Il cessa de lui sucer les doigts mais ne lâcha pas sa main pour autant. Il se contenta de lui caresser le dos de la main d’un doigt. Il sourit quand il sentit les doigts de la gamine bouger pour s’entremêler aux siens. Il se leva, la tirant en lui disant un vague « viens ». Il l’emmena dans le dortoir des garçons de sixième année. Il referma la porte derrière eux et la guida jusqu’à un lit qui devait être le sien. Ils s’y assirent sagement. White dévorait littéralement la gamine des yeux. Megan n’y tint plus et se rapprocha de son visage pour l’embrasser passionnément. Elle n’aurait jamais imaginé faire ça un jour. Mais maintenant qu’elle le faisait, elle avait l’impression qu’elle attendait ce moment depuis des mois.

Les bras de White l’entourèrent pour approfondir le baiser. Elle était si douce, si fraîche, si fragile. Son baiser était un peu maladroit mais il aimait ça. Il commençait même à se demander pourquoi il l’avait embêtée durant toute l’année. Peut-être pour cacher le fait qu’une fillette de cinq ans sa cadette lui plaisait. Enfin quatre ans et demi pour être exact, il se souvenait lui avoir gâchée une partie de sa fête d’anniversaire en janvier. Bref, c’était la seule explication qu’il trouvait.

Ils s’embrassèrent un moment, basculant sur le lit. Megan sentit son compagnon grandir dans son pantalon. Et loin de se montrer choquée, elle était fière d’être la source de son excitation. Lorsqu’ils cessèrent de s’embrasser, la main du jeune homme vint lui caresser la joue doucement. Il n’y avait aucune moquerie dans ses yeux, juste le bonheur d’être auprès d’elle. Elle voyait le reflet de ses yeux pétillants de joie dans ceux de White.

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« Je voulais te dire, pour toute à l’heure, dit-il. Je crois que c’est le fait de t’avoir vu qui m’a fais ramollir.

-Ah bon ? fit-elle.

-De toutes les filles que je connais, tu es la seule avec qui je m’imagine sortir sérieusement. Et ne plus courir de fille en fille. Et en plus, il t’a suffit d’un baiser pour me rendre toute ma vigueur. »

Megan rit à la dernière phrase de son compagnon. Mais tout d’un coup, elle prit un air sérieux.

« Je… commença-t-elle. Je voudrais…

-Dis-moi, invita-t-il en l’embrassant. Qu’est-ce que tu veux ?

-Je voudrais que tu m’apprennes. »

White resta abasourdi par ses paroles. Il ne voulait pas faire d’elle une victime de plus à son tableau de chasse. Elle était… spéciale. Il était prêt à attendre.

« Tu es sûre ? questionna-t-il à brûle-pourpoint.

-Oui, assura-t-elle à demi-voix. Je ne veux plus que tu m’appelles miss Prudjones.

-Je ne t’appellerais plus ainsi, je te le promets. Alors ne te sens pas obligée. Je ne veux rien gâcher et prendre le temps qu’il faudra.

-Je ne me sens pas obligée. Je le veux, c’est tout. »

White garda le silence en plongeant dans son regard noisette. Que devait-il faire ? Il ne voulait pas la brusquer, risquer de la perdre en voulant aller trop vite. Il voulait la garder. Mais c’était elle qui lui demandait. Il n’osait pas bouger. Un combat intérieur venait de s’engager. Devait-il accéder à sa demande ou refuser. Il ne pouvait nier qu’il avait envi d’elle.

Megan le voyait hésiter. Elle décida de prendre les choses en main même si elle ne savait pas vraiment comment faire. Elle décida d’y aller à l’instinct. Sa main descendit doucement jusqu’à atteindre la bosse qui s’était formée sous la robe de son compagnon. Par des gestes peu sûrs mais sensuels, elle massa son sexe. Elle vit avec bonheur la respiration de White se faire plus profonde. Il ne résista pas longtemps à ce traitement et l’embrassa fougueusement. Les mains du jeune homme parcoururent le corps frêle de la fillette. Il retroussa sa jupe jusqu’à pouvoir accéder à la chair tendre et velouté de ses fesses. Il les massa sensuellement alors que la langue de la jeune fille s’entremêlait avec la sienne. Obligeamment, elle écarta les jambes en faisant monter un genou sur celles de White, accentuant le contact de son bassin contre le sien. White y vit une invitation et sans écarter le tissu cotonneux de la culotte, il envoya ses doigts exploré la chaude contrée cachée entre les douces cuisses de sa compagne. Il sourit malgré la bouche de Megan toujours sur la sienne en constatant qu’il avait eu raison : elle était trempée par le désir. Il frôla presque imperceptiblement le tissu recouvrant ses lèvres intimes mais cela suffit à la faire gémir d’envie. Il n’imaginait pas ce que ça donnerait quand ils commenceraient les choses sérieuses.

Megan ne voulait pas être en reste. Elle parvint à passer la barrière de la robe de White et tomba sur son caleçon, emprisonnant sa virilité. Elle en sentait mieux la chaleur sous ses doigts. Elle put même l’entourer entièrement et le masturba doucement. Ce fut au tour de White de gémir. Contente d’elle, Megan ne put s’empêcher de pousser un petit rire. White interrompit leur baisé.

« Qu’est-ce qui te fais rire ? demanda-t-il.

-Rien, je me disais juste que c’était la première fois que je faisais ça mais que je ne m’en sortais pas trop mal au vu de tes gémissements.

-Ah oui ? Je pense être capable de te faire crier de jouissance en quelques minutes, vu comment toi tu as gémi alors que je t’ai à peine touchée.

-Montre-moi. »

White ne se le fit pas dire deux fois. Il poussa Megan pour qu’elle s’allonge et passa ses deux mains sous sa jupe. Il retira doucement sa culotte blanche en lui lançant un sourire gourmand. Les étoiles pétillaient d’autant plus dans les yeux de la fillette en pensant à ce qu’allait lui faire White. Il lui donna un dernier baiser. Lui lança un dernier clin d’œil avant de disparaître sous sa jupe. Sous la pression de ses doigts, la jeune fille écarta les cuisses. Elle attendait le premier contact avec impatience. Et soudain, elle sentit tous ses sens s’enflammer. Elle n’avait jamais senti un tel plaisir. La langue de White titillait son clitoris d’une manière experte. Elle sentait l’humidité de son intimité devenir plus intense si c’était possible. Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Ses doigts cherchèrent à s’accrocher à quelque chose et elle ne trouva que les mains de son compagnon. Son bassin se mit à onduler, mu par une volonté qui lui échappait. Elle n’en pouvait plus. Elle était sûre que tout le château entendait ses cris. Mais elle ne pouvait les taire. Elle ne le voulait pas. Et bientôt, elle sentit la chaleur s’intensifier encore. Elle ne pouvait même plus crier tellement le plaisir était fort. Elle sentit son intimité se déverser sur les lèvres de son compagnon.

Megan ne s’était jamais sentie aussi bien. Elle était totalement détendue, les yeux fermés. Elle sentit à peine White quitter sa jupe pour remonter jusqu’à son visage. Elle ne s’en rendit compte que quand il posa ses lèvres sur les siennes. Elles avaient un léger goût salé qu’elle appréciait.

« Alors, qu’est-ce que j’avais dit ? fit-il.

-J’ai envi de plus, dit-elle.

-Tes désirs sont des ordres. Mais il va falloir enlever quelques uns de tes vêtements. »

Ce n’était pas réellement un problème. Elle avait tellement chaud qu’en fait, elle se demandait pourquoi elle les avait gardés si longtemps. Bientôt, elle se retrouva avec seulement son soutien-gorge. Mais, comme se rendant compte de quelque chose, elle tenta vainement de cacher sa nudité en serrant les bras et les jambes et en se recroquevillant sur le côté. White ne s’en montra pas démonté, devinant ce qu’elle pensait.

« Megan, souffla-t-il en déposant un baiser sur son épaule.

-Je ne veux pas que tu me voies, fit-elle. Je ne suis pas belle.

-Pourquoi tu dis ça ?

-Je n’ai pas de poitrine. Je ne suis pas comme toutes ces filles avec qui tu as l’habitude de coucher.

-Megan. Aucune ne m’a jamais fait autant d’effet que toi. Ta poitrine, ce n’est qu’un détail qui ne durera pas. J’ai envi de toi comme tu es. Je n’en veux aucune autre. »

White dut encore la caresser tendrement pour la détendre et la ramener vers lui. Il enleva la dernière protection de tissu. C’était vrai qu’elle n’avait pas beaucoup de poitrine. Elle commençait à peine à s’ériger mais elle laissait présager que plus tard, elle serait d’une taille tout à fait appréciable. Il ne résista pas et vint déposer ses lèvres sur un de ses beaux fruits pour en sucer l’extrémité rose. Megan se détendit presque aussitôt et entoura son amant de ses bras.

Megan appréciait les caresses de White. Mais elle ne voulait pas que tout soit à sens unique. Elle voulait aussi lui donner du plaisir. Elle parvint maladroitement à lui retirer sa robe et son tee-shirt. Elle glissa une main tremblante sous l’élastique du caleçon et atteignit sans barrière la verge dressée de White. Elle frémit à son contact mais vint tout de même l’entourer de sa petite main. Elle débuta un léger va-et-vient qui le fit gémir alors qu’il continuait à sucer le sein de la gamine.

« Tu as la main toute douce, dit-il. »

Elle retira le caleçon, libérant enfin la virilité de son amant. Elle l’observa un moment. Elle était étrangement fière que ce membre soit dressé pour elle et rien que pour elle. Elle le reprit en main, le sentant palpiter entre ses doigts.

C’est alors que lui revint en mémoire ce que lui faisait la fille de sixième année précédemment. Elle trouvait l’idée étrange mais ce genre de caresses avait l’air de plaire aux garçons d’après ce qu’elle avait compris en écoutant leurs conversations. Et puis, aujourd’hui, rien ne lui semblait interdit, ni impossible. Elle lui adressa un sourire coquin et descendit le long de son torse. White ne s’attendait pas à ce qu’elle aille jusque là dés leur première fois. Il se dit qu’elle aurait besoin d’être guidée. Mais il ne put s’empêcher de rejeter sa tête en arrière quand les lèvres de la petite bouche se refermèrent sur son membre. Elle se montra douée pour lui pomper le dard palpitant en lui donnant un maximum de sensation. Il en vint presque à se demander si c’était vraiment la première fois qu’elle suçait un homme. Il ne résista pas à l’envie de lui demander.

« Non, répondit-elle. C’est la première fois. Je me débrouille bien ?

-Oh que oui ! assura-t-il. »

Contente, elle le gratifia d’un sourire rayonnant avant de reprendre sa gâterie. Elle sentait le membre vibrer entre ses lèvres et elle aimait ça. Elle fit tourner sa petite langue autour du gland ce qui eu pour effet de faire gémir plus fort son amant.

White sentait qu’il ne résisterait pas longtemps aux douces intentions de sa compagne. Et il craignait qu’elle ne sache pas ce qui arrivait quand un homme arrivait au bout de son plaisir et surtout, il ne voulait pas la choquer en éjaculant dans sa bouche.

« Attend, fit-il à bout de souffle. Si tu continues, je sens que je vais bientôt jouir.

-Et alors, demanda Megan en lui souriant.

-Quand un homme jouit, il y a quelque chose qui gicle de son sexe.

-Ce n’est pas parce que je suis miss Prudjones que je ne sais pas certaines choses sur la sexualité. Je sais déjà ce qu’est une éjaculation. Et je veux te donner ce que tu m’as donnée sans retenu. »

Comment résister à ça ? White n’ajouta rien et laissa Megan continuer sa tendre caresse buccale. Il se laissa totalement aller et se déversa dans la bouche de la gamine en poussant un râle de plaisir. Megan n’en laissa pas une seule goutte s’échapper et avala tout. Elle nettoya le sexe à coups de langue et s’évertua à lui rendre de la vigueur. Elle savait qu’ils arrivaient maintenant à la partie la plus importante.

Elle remonta pour l’embrasser sans arrêter de le masturber tendrement. La main de White vint lui caresser son antre des plaisirs. Ils se masturbèrent l’un l’autre durant un moment. Puis, White la bascula sur le dos et vint se placer au dessus d’elle. Il l’interrogea du regard. Elle ne répondit qu’en l’embrassant et en lui souriant. Elle écarta doucement les jambes pour l’inviter à venir explorer sa terre vierge. Il plaça son gland contre la contrée humide. Et sans relâcher les lèvres de la fillette, il s’immisça doucement en elle. Elle gémit dans un premier temps. Mais quand il atteignit son hymen, son visage se déforma sous la douleur. Malgré tout, elle entoura son cou de ses bras pour lui interdire de reculer et s’accrocha à ses lèvres comme si elle représentait la dernière bouffée d’air de sa vie. Il continua à s’enfoncer en elle. Doucement. Millimètre par millimètre. Et quand il arriva au bout, il resta immobile. Il savait que le sang de la virginité de Megan se mêlait à son fluide de plaisir.

Les joues de Megan étaient rouges. Elle soupirait profondément, sentant la virilité de White entièrement en elle. Elle aimait se sentir uni à lui. Elle se décolla de ses lèvres pour enfouir son visage près de son oreille, lui murmurant un léger : « vas-y ». White ne se fit pas prier mais décida d’y aller tout doucement. Il commença à aller et venir dans son fourreau de chair si chaud. Au moindre mouvement, Megan se cambrait de douleur et de plaisir. Il avait l’impression qu’elle pouvait se briser au moindre coup trop fort. Mais bientôt, la douleur quitta ses yeux totalement. Elle ne ressentait plus que du plaisir. Elle gémissait plus fort que jamais. White se mit à accélérer le rythme. Il la sentait se contracter sur son membre à chaque coup de rein. Elle mouillait de plus en plus. Au bout de quelques minutes, elle ondulait tellement du bassin que White n’avait plus à faire le moindre geste. Il la serra alors dans ses bras et il passa sur le dos.

Megan parut contente de le dominer ainsi. Elle l’embrassa tendrement sans cesser ses ondulations sur le sexe bien dur. Il ne lui fallut pas longtemps pour accélérer la cadence de son propre chef. Elle criait de plus en plus fort à mesure qu’elle montait et descendait sur la virilité de son amant. Elle sentait de nouveau la jouissance arriver. Elle ne la retint pas et se cambra entièrement se laissant emporter par l’orgasme. Son jus de plaisir se déversa sur le bas-ventre de son amant. Elle s’effondra sur son torse, secouée de soubresauts en gémissant. White la retourna de nouveau pour reprendre leur position de départ. Il reprit ses va-et-vient en essayant d’imiter le rythme qu’elle avait atteint avant de jouir. Rapidement, Megan se remit à gémir sous les assauts de son compagnon. Elle ne savait plus où mettre ses mains. Elle parcourut le torse de White, ses fesses, son visage. Elle sentait que White allait bientôt jouir également. Mais surtout, elle sentit un nouvel orgasme l’envahir sans prévenir. Elle se cambra en hurlant de bonheur, son vagin se contractant autour de la verge de White. Ce dernier n’y résista pas et se laissa entraîner par le plaisir.

White resta un moment fiché dans Megan avant de se laisser tomber sur le côté. Megan, haletante, vint se blottir contre lui. Ils restèrent silencieux, attendant que l’émotion passe. Ils s’embrassèrent tendrement.

« Je ne pourrais vraiment plus t’appeler miss Prudjones, dit-il. Tu es vraiment formidable.

-Je n’aurais jamais imaginé que cette journée se passerait ainsi, avoua-t-elle. Mais je ne regrette rien. Pour quelqu’un qui a débandé tout à l’heure, tu t’es vite remis.

-Merci.

-Et maintenant ?

-Si tu en veux encore, laisse-moi me reposer un peu s’il te plait.

-Non. Je veux dire, vas-tu faire avec moi comme avec toutes les filles avec qui tu as couché ? »

White plongea ses yeux dans ceux de la fillette et y vit le doute. Il l’embrassa.

« Si on allait ensemble au bal ce soir ? A moins que tu ne préfères y aller avec un troll. »

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Samedi 5 mars 6 05 /03 /Mars 11:00

 

Une contirbution de SnakeBZH

 

CHAPITRE II : COMMENT ON ATTRAPE LE VIF ?

 

Cette journée était vraiment parfaite pour la Fête de fin d’année. Le soleil promettait d’être radieux et de chauffer l’atmosphère. Tout le monde attendait surtout le bal qui aurait lieu après le festin. C’était vraiment l’évènement de l’année. Toutes les filles en parlaient. Surtout celles qui avaient eu la chance d’être invité par le garçon qu’elles voulaient. Pour d’autres, elles faisaient contre mauvaise fortune bon cœur en se disant qu’elles passeraient quand même une bonne soirée. Et qui sait ? Elles auraient peut-être une surprise durant le bal.

Pour la jeune Su Li, première année à Serdaigle, c’était vraiment une journée où elle pourrait découvrir les différents clubs de l’école en vu d’en choisir un l’an prochain. Elle était d’origine moldue et ne connaissait rien aux hobbies des sorciers. Elle avait regardé d’un œil distrait les différentes activités durant l’année mais en élève sérieuse, elle passait plus de temps sur ses devoirs. Maintenant que les examens étaient passés, elle pouvait vraiment y réfléchir. Surtout que les clubs proposaient des initiations. La question qu’elle se posait maintenant c’était : par quel club commencer ?

En bonne Serdaigle, elle réfléchit à la question sous un regard logique. Et la logique lui disait de commencer par le club le plus éloigné du château pour ensuite y revenir et faire un par un les autres clubs. Le plus éloigné étant le club de jardinage et étant sûre que mis à part quelques améliorations magiques et les plantes cette activité ne serait en rien différentes de sa version moldue ; et surtout n’étant pas passionné plus que ça par la botanique, elle décida de ne pas s’y rendre. Le second était le Quidditch. Le sport n’était pas son point fort mais malgré tout, elle aimait regarder les joueurs évoluer sur leurs balais. Elle estimait ses chances d’entrer dans l’équipe l’an prochain à peu près nulle. Mais autant passer un agréable moment à essayer. Peut-être se découvrirait-elle un don ?

Su Li se dirigea vers le stade de Quidditch. Elle monta dans les gradins. Pour la matinée, c’étaient les équipes de Serdaigle et de Gryffondor qui assuraient les démonstrations et les initiations. L’après-midi, ce seraient Poufsouffle et Serpentard. Elle était onc bien tombé car au moins, aucune des deux équipes ne chercheraient à casser l’autre, le respect entre les deux maisons étant acquis. Les joueurs attendaient qu’il y ait suffisamment de monde. Su Li les observa. Ils avaient l’air tous si à l’aise sur leurs balais malgré le vide. Les jumeaux Weasley s’amusaient en se renvoyant un cognard avec leurs battes. Deux des poursuiveuses en rouge discutaient avec leur gardien et capitaine Olivier Dubois. La dernière poursuiveuse était à l’écart avec Harry Potter. Su Li ne put s’empêcher de remarquer une certaine complicité dans les regards qu’ils échangeaient. Elle s’appelait Katie Bell si les souvenirs de Su Li étaient exacts.

Su Li fit de même avec l’équipe de Serdaigle. Mais son regard s’arrêta sur l’attrapeuse de l’équipe azurée : Cho Chang. Dans toute l’école, elles n’étaient que deux d’origine chinoise. Et Su Li avait passé l’année à admirer de loin l’attrapeuse pour avoir réussi à s’imposer dans l’équipe de Quidditch. Et puis surtout, elle la trouvait vraiment magnifique. Elle n’arriva pas à la lâcher des yeux durant toute la démonstration. Puis le capitaine de Serdaigle s’était avancé et avait demandé à ce que tous ceux qui souhaitaient faire une initiation descendent sur le terrain.

Su Li descendit en priant intérieurement pour être avec Cho Chang. Mais lorsqu’elle se rendit compte du nombre d’élèves souhaitant essayer le Quidditch, elle perdit de son moral. Les deux capitaines firent les groupes au nombre de quatre. Ils iraient d’atelier en atelier pour pouvoir essayer chacun des postes. Su Li commença par le poste de gardien, conseillé par Olivier Dubois. Les poursuiveuses de Gryffondor jouaient les attaquantes. Elles ne lançaient que des balles gentilles et sans faire de feintes. Malgré tout, Su n’arriva pas à en arrêter une seule. Les poursuiveuses la rassurèrent en lui disant que gardien était un poste assez difficile. Elle passa ensuite poursuiveuse avec deux autres initiés. Le gardien de Serdaigle parvint à arrêter tous ses tirs, quand déjà elle parvenait à garder la balle dans ses mains. Au poste de batteur, elle faillit plusieurs fois se prendre le cognard et même la batte d’un de ses camarades.

Elle arriva enfin à l’atelier attrapeur. L’activité était dirigée par Harry Potter et Cho Chang. En la voyant si belle, Su oublia ses déboires aux autres ateliers. Les deux attrapeurs en titre se partagèrent le groupe. Ensuite, un par un de chaque équipe ferait un petit duel d’attrapeur avec un vif d’or ralentit. Su Li eut le cœur qui manqua un battement quand elle se rendit compte qu’elle était dans l’équipe de Cho Chang. Elle attendit patiemment son tour.

Quand elle s’approcha de Cho Chang, elle se sentait sur un petit nuage. L’attrapeuse lui sourit.


« Salut Li, fit-elle. Contente de te voir.

-Je voulais essayer le Quidditch, dit Su.

-Et alors ?

-Ça a été un vrai désastre sur les autres ateliers. Je ne crois pas que je vais me présenter l’an prochain.

-Attend d’essayer le poste d’attrapeur.

-Mais c’est toi l’attrapeuse.

-Et si tu es meilleur que moi. Tu y as pensé ? Je serais bien obligé de te laisser ma place.

-Il n’y a pas la moindre chance.

-On va voir ça tout de suite. Tu vas faire un duel contre ce garçon de Gryffondor. Ne quitte jamais le vif des yeux. Mais fais aussi attention à la trajectoire de ton adversaire. Tu as des questions ?

-Comment on attrape le vif ?

-Tend juste la main. Aller, en selle. Harry, quand tu veux, annonça Cho Chang. »


Su Li s’envola et tenta de suivre le vif d’or de son mieux. Elle fut rassurée de voir que le garçon n’était pas plus doué qu’elle sur un balai. Elle parvint même à s’approcher à moins de deux mètres de la petite balle dorée. Mais alors qu’elle tendait la main, le garçon lui coupa la route, percutant le bout de son balai. Su partit en vrille. Elle ne contrôlait plus du tout son balai. Voyant le sol se rapprocher dangereusement, elle ferma les yeux en attendant le choc. Il vint mais il n’était pas aussi rude qu’elle l’aurait imaginé. Elle se trouvait contre quelque chose de doux et de chaud. Sans oser ouvrir les yeux elle déplaça ses mains et tomba sur un objet charnu, doux, mou mais ferme et surtout, recouvert de vêtements. Elle ouvrit les yeux et vit qu’elle était encore en l’air. Cho Chang s’était porter à son secours et était parvenu à l’arrêter en plein vol. Su remarqua alors que sa main était posée sur un sein de l’attrapeuse. Elle le retira en craignant de s’attirer les foudres de Cho. Mais cette dernière foudroyait du regard le garçon de Gryffondor. Ce dernier se faisait engueulé par Harry Potter qui lui aussi estimait sa manœuvre dangereuse.


« Elle va bien, lança alors Cho à Harry. »


Su était encore tout contre le corps irradiant de chaleur de Cho. Elle n’avait pas envie de la quitter. Mais il le faudrait bien.


« Je vais l’emmener au vestiaire, annonça Cho. Elle doit se remettre de ses émotions. Tu peux te charger des derniers sans moi ? »


Sans quitter les bras protecteur de Cho, elles volèrent vers le vestiaire de Serdaigle. Elles ne se séparèrent qu’une fois arriver dans le vestiaire. Su ne put s’empêcher d’imaginer son ainée se déshabiller dans cette pièce. Elle sentit le rouge lui monter aux joues. Cho était allée chercher une bouteille d’eau qu’elle lui tendit en revenant.


« Tu vas mieux ? demanda l’attrapeuse.

-Oui, répondit Su. Merci.

-De rien. Ce garçon a vraiment agit sans réfléchir. Heureusement que je n’étais pas loin. »


Su sentit ses jambes se couper et s’assit. Comme devinant ce qu’elle ressentait, Cho vint près d’elle.


« Ne t’inquiète pas, c’est normal, assura Cho. Tu aurais dû voir dans quel état j’étais après mon premier match.

-Je n’ai jamais eu aussi peur, dit Su. »

 

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Cho prit la fillette dans ses bras, faisant poser sa tête sur sa poitrine. Elle la berça comme on berce un enfant qui a du chagrin.


« J’ai remarqué que tu étais souvent seule, dit Cho.

-Oui, je… balbutia Su. J’ai du mal à me faire des amies parmi les filles de mon année.

-Et parmi les garçons ?

-Je… en fait, les deux sont liés.

-Pourquoi ?

-Parce que je ne m’intéresse pas du tout aux garçons. »


Su s’attendait à ce que Cho la repousse brutalement. Et pourtant elle ne faisait que dire la vérité. Elle appréciait la présence des filles mais pas celle des garçons. D’ailleurs, elle s’était elle-même surprise à reluquer certaines filles dans les couloirs comme le ferait un garçon. Ses camarades de Serdaigle l’avaient bien compris et préféraient rester loin d’une fille aux mœurs aussi bizarre. Su attendit. Mais Cho ne la repoussa pas.


« Ce sont des idiotes, dit Cho. Elles ne doivent pas savoir comme c’est bon de se retrouver entre les bras d’une fille. »


La déclaration de Cho eut l’effet d’un coup de massue sur Su. Elle leva les yeux vers l’attrapeuse.


« Tu veux dire que toi aussi… ? demanda-t-elle sans oser finir sa phrase.

-Je préfère les garçons, expliqua Cho. Mais je me suis déjà retrouvé dans les bras d’une fille. Et j’ai trouvé ça très agréable. Toi tu préfères totalement les filles alors ?

-Oui. Et je comprendrais que tu me repousses. Tu sais je t’ai toujours admirée. Tu es si belle et tu joues si bien au Quidditch. Mais tu préfères les garçons.

-Pourquoi veux-tu que je te repousse ? »


Cho releva le menton de Su en douceur et déposa ses lèvres sur les siennes. Le cœur de Su se mit à battre la chamade. Les lèvres de Cho étaient aussi douces qu’elle se les était imaginé. Le baisé se termina trop vite à son gout.


« Si on allait prendre une douche, proposa Cho en souriant. »


Su se demandait qu’elle dieu elle fallait qu’elle remercie. Elle regarda la belle attrapeuse retirer un à un ses vêtements. Son corps était encore jeune mais si beau. Su en oubliait que Cho n’avait qu’un an de plus qu’elle. Elle en oubliait aussi de se déshabiller. Quand elle le remarqua, elle retira ses vêtements rapidement. Cho lui tendit une serviette qu’elle noua rapidement autour de sa poitrine. L’attrapeuse lui prit la main et la guida vers les douches des filles.

La première chose que fit Cho fut de retirer sa serviette dévoilant de nouveau son corps sublime. Une nouvelle fois, Su resta figée par la beauté de Cho et surtout de pouvoir l’admirer. Rien qu’à penser à ce qui allait se passer par la suite, elle sentit son sexe devenir tout humide et la chaleur lui monter aux joues de nouveau. Cho s’approcha et lui retira sa serviette, dévoilant un corps d’enfant où ne pointaient que ses deux petits tétons, gorgés de désir. Cho la tira jusque dessous la poire de douche et ouvrit l’eau. Le fluide chaud et clair perla sur leurs deux peaux satinées. Su ferma les yeux paresseusement pour en apprécier la caresse. Mais ce fut une autre caresse qui lui fit dessiner un sourire sur ses joues. Les mains de Cho venaient de se poser tel un papillon sur ses petits seins à peine érigés. Elle les frictionna d’un mouvement doux en rond. Su rouvrit les yeux et vit Cho lui sourire. Elle osa à peine lui répondre, ne croyant pas encore en sa chance d’être dans les douches, nues, avec la fille de ses rêves. Elle n’osait même pas bougé. Cho décida d’agir pour la mettre à l’aise. Elle s’approcha et se saisit de ses jeunes lèvres avec les siennes. Le baisé se fit plus passionné que le premier. La petite langue de Cho s’immisça entre celles de Su et vint caresser la sienne.

Su oublia toute retenues et passa ses bras autour du coup de Cho pour approfondir le baiser. Cho fit quitter intensifia sa caresse sur la poitrine de sa cadette et sentant les tétons devenir encore plus dur sous ses doigts, elle fit descendre une des ses mains tout doucement le long du ventre de la première année. Elle finit par atteindre l’intimité ruisselante d’eau mais également de fluide intime. Su ne voulait plus rien refuser à Cho. Elle écarta les cuisses légèrement, invitant l’attrapeuse à venir plus loin. La main de cette dernière commença à agacer tendrement le petit bouton d’amour déjà gonflé d’envie. Cho fut contente de constater que la petite Su gémissait sous ses caresses malgré sa bouche occupée par celle de Cho.

Su se sentait si bien. Même si elle savait qu’elle aimait les filles, jamais encore elle n’était passée à l’acte, ne trouvant pas de partenaire pour s’essayer aux jeux de l’amour. Mais elle ne le regrettait pas car elle était entrain d’offrir son pucelage à la fille de ses rêves. Celle à qui elle pensait souvent sous ses draps, quand elle s’autorisait quelques caresses solitaires. Et maintenant, elle l’embrassait et sentait ses doigts la caresser avec tendresse. Elle prit une attitude déçue quand Cho quitta ses lèvres. Mais elle retrouva rapidement le sourire en la voyant s’agenouiller devant elle. Cho lui fit lever une jambe pour la mettre sur son épaule, s’assurant la voie libre jusqu’à son puits d’amour. Cho avança ses lèvres vers l’intimité ruisselante et embrassa des lèvres aussi douces que celles qu’elle venait de quitter. Su rejeta sa tête en arrière en gémissant de plaisir. La langue de Cho jouait avec son clitoris d’une manière si experte que Su se serait sûrement demander combien d’autres filles elle avait connues si elle n’était pas incapable de penser en cet instant. Mais ce qu’elle aimait le plus, c’était quand Cho immisçait sa langue dans son intimité au plus profond qu’elle puisse atteindre. Déjà excité depuis le moment où elle avait été sauvée par l’attrapeuse, Su ne fut pas longue à venir. Elle poussa un long cri de jouissance, inondant la bouche accueillante de Cho de jus de plaisir. Jamais elle n’avait joui aussi fort lors de ses masturbations. Et jamais encore elle n’avait joui au point de véritablement éjaculer de mouille.

Cho avala tout ce qui entra dans sa bouche. Elle quitta le sexe brûlant de Su en souriant.


« Alors comme ça tu es une fontaine, fit Cho. »


Su rougit de honte. Mais Cho se releva et loin d’être en colère l’embrassa tendrement. Su sentait le gout de sa propre intimité sur les lèvres de Cho. Et cela ne lui donna qu’une seule idée : gouté le sexe de Cho à son tour.


« Tu veux me gouter aussi ? demanda Cho comme lisant dans ses pensés.

-Oui, répondit timidement la première année. »


Cho l’invita à s’agenouiller et écarta les cuisses en se caressant. Elle écarta ses lèvres intimes pour lui montrer où appliquer ses intentions. Su ne savait pas comment commencer. Elle hésita un moment. Cho ne la brusqua pas. Puis elle s’approcha du bouton d’amour de Cho et y déposa un simple baiser. Elle entrouvrit les lèvres pour le coincer entre et le faire rouler. Cho sentait déjà son sexe la brûler de plaisir. Cette petite devait vraiment aimer les filles pour pouvoir leur donner du plaisir rien qu’avec ses lèvres. Cho soupirait bruyamment sous cette tendre caresse et d’un coup elle poussa un gémissement plus fort, Su titillait maintenant le clitoris avec sa langue. Elle approfondissait sa caresse progressivement. Cho la suivait dans le niveau atteint par ses gémissements. Et quand la langue de Su commença à frôler l’entrée de sa cavité intime, elle ne résista pas et se laissa emporter par un premier orgasme.

Su ne s’arrêta que parce que Cho la tira vers le haut. Elle était à peine arrivée au niveau de son visage que l’attrapeuse l’embrassa à pleine bouche. Les mains de Cho se perdirent sur les deux fesses menues de la première année. La main de celle-ci continuait de caresser le clitoris de son ainée. Cho en voulait encore et elle savait que Su aussi. Elle prit de nouveau la main de la première année et s’allongea sur le sol. Su comprit l’invitation et elle s’allongea sur Cho tête bêche, plaçant ses jambes de part et d’autre du visage de son amante. Aussitôt, Cho lui prodigua de nouveau ses attentions buccales. Su gémit, et se rappelant que l’intimité de Cho se trouvait juste sous ses yeux, elle vint immédiatement reprendre sa gourmandise là où elle l’avait laissée. Les deux jeunes filles gémissaient de concert en se mangeant l’intimité l’une l’autre. Su poussa un petit cri plus fort que les autres quand Cho commença à insérer un de ses doigts dans son antre des plaisirs. Le va-et-vient du doigt de Cho en elle était entrain de l’emmener au septième ciel. Elle étouffa un cri de plaisir en reprenant le clitoris de l’attrapeuse entre ses lèvres. Et voyant le petit trou ruisselant de mouille à quelques centimètres de son visage, elle ne résista pas et y plongea elle aussi un doigt coquin. Cho frémit sous cet assaut surprise. Les bouches se détachèrent des intimités et poussaient de petits cris au rythme des va-et-vient des doigts. Su fut la première à venir, lâchant de nouveau une quantité impressionnante de fluide intime sur le visage de Cho. Sous cette douche improvisée, Cho se laissa aussi emporter par le plaisir.

Les deux jeunes filles restèrent longtemps sans bouger, appréciant l’intimité de l’autre par quelques lapées tendres. Su se releva pour se retourner et venir étreindre l’attrapeuse. Elle l’embrassa tendrement en passant ses bras autour de son corps.


« Merci, fit-elle.

-De quoi ? demanda Cho.

-Je n’avais encore jamais fait ça. Tu viens de me dépuceler. Donc, merci.

-De rien, conclut Cho en l’embrassant à nouveau. »

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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Dimanche 30 janvier 7 30 /01 /Jan 22:17

 

Une contribution de SnakeBZH

 

Chapitre 1 : Surprise dans les vestiaires

 

La première année d’Harry à Poudlard ne fut pas de tout repos. Il s’était retrouvé face à l’assassin de ses parents, l’empêchant de s’emparer de la Pierre Philosophale. Son amie Hermione avait fait preuve d’une grande intelligence et d’un soutien sans faille durant cette action courageuse. Et Ron avait été légèrement blessé, se sacrifiant pour vaincre l’échiquier géant du professeur MacGonagall. Mais ils allaient bien tous les deux. Mais lui-même se posait des questions sur les ressemblances qu’il avait remarquées entre lui et Voldemort.

Maintenant, il attendait sans vouloir la fin de l’année. Les examens étaient terminés. Et demain soir, le festin de fin d’année aurait lieu. Il suivrait la Fête de fin d’année de l’école qui se déroulait sur toute la journée et serait suivi du bal de fin d’année. Une tradition datant de plusieurs décennies. Tous les élèves des années au dessus de lui en parlaient comme d’un grand moment de détente après la forte période de stress des examens. Les clubs présenteraient leurs activités et proposeraient des initiations. Pour sa part, Harry avait prévu d’en profiter pour se détendre en participant aux activités de Quidditch le matin et irait de stand en stand l’après-midi avec Ron et Hermione.

Mais en attendant la journée de demain, il se détendait sous la douche après le dernier entraînement de Quidditch de l’année. Dubois avait réuni l’équipe une dernière fois, soi-disant pour faire une dernière mise au point tactique sur ce qu’il aimerait que l’équipe réfléchisse durant l’été. Mais Harry se doutait que le professeur Dumbledore lui avait demandé de lui faire changer les idées. Et Harry devait reconnaître que cela avait marché. Lorsqu’il enfourchait son balai et fonçait d’un bout à l’autre du terrain, il se sentait bien et ailleurs.

Il se savonnait consciencieusement quand les lumières s’éteignirent toutes, plongeant les douches dans le noir. Harry avait laissé sa baguette avec ses vêtements. Il se rinça et récupéra ses lunettes en tâtonnant. Une serviette nouée autour de la taille, il ressortit des douches garçon et se dirigea vers la pièce unique où tous les joueurs, filles et garçons se changeaient. Il trouvait bizarre que les douches soient séparées alors que la pièce pour se changer était commune. Il avait fait en sorte durant toute l’année de cacher au mieux sa nudité aux filles de l’équipe tout en faisant attention à ne pas les regarder. Mais il était un jeune adolescent qui découvrait les pulsions sexuelles et osa, parfois malgré lui, jeter une œillade au corps sublimes d’Angelina, Katie et Alicia. Il savait aussi que les deux jumeaux Weasley ne se faisaient pas prier pour les reluquer avant et après les entraînements. Et d’après ce qu’il pouvait comprendre, elles ne se privaient pas non-plus de le faire à leur encontre.

Harry s’arrêta à deux mètres de la porte. Elle était légèrement entrouverte et un filet de lumière passait par l’interstice. Mais ce qui arrêta Harry, ce fut les soupirs à l’unisson de plusieurs personnes qui lui parvenaient. Il lui sembla même entendre quelques mots soufflés. Des « Oui » et des « C’est bon ». Harry avait le choix entre surgir dans la pièce d’un coup ou s’approcher discrètement pour voir ce qu’il se passait et surtout qui était encore là. Il opta pour la seconde solution. Sur la pointe des pieds, il s’approcha de la porte. Il fit attention à ce que sa respiration ne soit pas trop bruyante.

Il se retint de pousser une exclamation de surprise quand il découvrit ce qui se passait. Il découvrit Angelina entourée de Fred et Georges. Les jumeaux n’étaient vêtus que de leurs caleçons et ils s’évertuaient à caresser le moindre centimètre de la peau de la belle noire. Cette dernière était également en sous-vêtement. D’une main elle caressait le torse du rouquin placé devant elle qu’Harry arriva à identifier comme Fred. De l’autre, elle frictionnait la bosse qui saillait sous le caleçon de celui de George se tenant derrière. Elle ondulait lascivement des hanches contre le bassin gonflé de Fred.

Harry n’osait plus faire le moindre bruit et encore moins bougé. Il était totalement fasciné par le spectacle des deux frères et de la belle noire. Les trois adolescents prenaient visiblement du plaisir à se frotter ainsi les uns contre les autres. Harry était si obnubilé par cette vision, qu’il n’entendit pas la porte des douches des filles s’ouvrir et se refermer. Et il sursauta quand Katie Bell lui posa une main sur l’épaule, retenant in extremis une exclamation effrayée qui les aurait trahis. Il fit signe à Katie de ne rien dire et se replongea dans sa contemplation. Intriguée, Katie se pencha légèrement au dessus de l’épaule du garçon pour voir ce qu’il regardait. Elle porta sa main à sa bouche sous la surprise. Et ce fut les yeux exorbités par la curiosité qu’elle se mit à regarder elle aussi.

Fred avait glissé une main dans la culotte d’Angelina et titillait son clitoris avec vigueur. Ceci eut pour effet de rendre les ondulations de bassin de la jeune fille plus sensuelles qu’ils ne l’étaient déjà. Georges retira le soutien-gorge, libérant sa jeune et ferme poitrine. Il massait les seins en l’embrassant dans le cou. La belle noire lui facilita les choses en penchant la tête en arrière, fermant les yeux pour apprécier d’autant plus les caresses de ses amants. Elle avait maintenant chacune de ses mains glissées dans le caleçon de ses partenaires, les masturbant en douceur. George passa sous l’aisselle d’Angelina pour atteindre un sein qu’il se mit à sucer avec délectation. Fred décida de s’agenouiller, retirant le dernier vêtement de la belle. Harry remarqua que l’intimité de l’adolescente était presque imberbe, aussi noir que le reste de son magnifique corps, mais lorsque Fred écarta les lèvres de son sexe, il découvrit un rose chatoyant. Une petite boule de chair s’érigeait entre les lèvres. Et il vit Angelina être parcourue d’un frisson de plaisir quand Fred commença à passer sa langue dessus.

Malgré ce spectacle des plus fascinants, Harry eut un moment de lucidité. Il remarqua que sa serviette s’était soulevé, son pénis tout dur érigeant un petit chapiteau. Mais surtout, il se rappela la présence de Katie à côté de lui. La fillette avait toujours sa tête penchée au dessus de son épaule et observait les amants prendre du bon temps. Harry sentait ses cheveux humides lui effleurer l’épaule et cela lui donna envie de se retourner pour caresser le corps de Katie avec autant de douceur que Fred et Georges sur celui d’Angelina. Mais il se retint, estimant que se serait déplacé dans un sursaut de bon sens. Il ne put s’empêcher malgré tout de la regarder plus attentivement. Comme lui elle n’était habillée que d’une serviette mais elle était noué autour de sa poitrine et se finissait juste sous ses fesses. C’était diablement sexy et cela n’arrangea pas l’excitation d’Harry. Il préféra de nouveau se concentrer sur ses aînés et leur jeu intime.

Angelina était maintenant allongée sur un banc des vestiaires. Fred continuait de laper son clitoris avec appétit, la faisant soupirer de plaisir. George lui suçait les seins. A voir les deux frères, on aurait pu croire que la jeune noire n’était qu’un plat très gouteux à leurs yeux. Georges quitta la poitrine luisante de salive d’Angelina mais cette dernière, totalement obnubilée par les sensations qui lui arrivait en cascades de son entrejambe, ne démontra aucune déception. Georges retira son caleçon, laissant apparaître au grand jour son sexe dressé. Il l’approcha du visage de la belle. Celle-ci eut un sourire coquin en prenant le pénis d’une main. Elle ouvrit les lèvres pour avaler le gland d’un coup. Georges lança sa tête en arrière en sentant la bouche de la jeune fille se refermer sur sa virilité. Elle le pompait vigoureusement d’une main tout en suivant avec sa bouche. Harry devinait que la langue d’Angelina devait tourbillonner autour du gland du garçon pour augmenter le plaisir chez ce dernier. Puis soudain elle retira le sexe de sa bouche, se contentant de le lécher sur toute la longueur. Elle gémissait de plus en plus fort et finit par se cambrer sous son premier orgasme de la soirée. Il y eut un moment de calme pendant qu’elle se remettait de son plaisir explosif. Puis elle reprit ses va-et-vient sur le pénis de Georges.

Voir la belle noire jouir excita encore plus Harry si c’était possible. Il voulait se soulager en masturbant son sexe durci par le désir mais il n’oubliait pas la présence de Katie à ses côtés. Il lança une nouvelle œillade vers la gamine et ne fut pas surpris de deviner ses joues rosies dans le léger rai de lumière. Il descendit encore une fois son regard le long de son corps et s’arrêta sur le bas de sa serviette. Ce fut le dernier coup porté à son bon sens, celui qui le vainquit totalement. La fillette se caressait, une main sur son entrejambe. Harry devina ses doigts bougés, jouant avec son clitoris. Ceci expliquait d’autant plus la respiration plus profonde de Katie. Il s’agissait de soupirs de plaisir. Sentant peut-être le regard d’Harry sur elle, elle plongea ses yeux dans les siens. Elle parut figée un moment, sûrement gêné d’avoir été prise sur le faite. Mais sa gêne se transforma en sourire. Harry y répondit. La main de Katie quitta son intimité pour venir frôler la serviette d’Harry là où son pénis formait une bosse. Elle le caressa doucement, n’osant pas encore aller plus près. Harry passa sa main sur la cuisse si douce de Katie. Cette dernière prit ça pour une invitation et écarta un pan de la serviette pour atteindre la jeune virilité d’Harry. Harry sentit la peur montée en lui : et si elle trouvait son sexe d’enfant trop petit ? Mais elle continua à sourire en masturbant le petit garçon. Harry releva le bas de la serviette et atteignit l’intimidé chaude et humide de Katie qui l’aida en écartant légèrement les cuisses. Elle avait le sexe entièrement glabre et il en apprécia tout le velours. Il trouva rapidement la petite boule de chair qui avait fait tant d’effet chez Angelina et commença à la masser. La respiration de Katie se fit plus profonde encore. Elle ferma même paresseusement les yeux en profitant du plaisir qu’elle ressentait.

 

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Harry et Katie, se masturbant l’un l’autre, regardèrent de nouveau vers le trio torride. Georges était monté au dessus du visage d’Angelina et celle-ci le tenait à deux mains par les fesses en suçant plus vigoureusement que jamais son membre gonflé de désir. Elle gémissait malgré sa bouche pleine, Fred ayant lui aussi retiré son caleçon et la pénétrant profondément. Les coups de reins de Fred donnaient le rythme des va-et-vient de la bouche de la belle noire sur le pénis de Georges. Georges s’enfonçait si profondément entre ses lèvres si douces que la langue d’Angelina venait lui lécher les bourses. Les jambes d’Angelina entourèrent la taille de Fred, l’empêchant de s’enfuir s’il le désirait. Pour la deuxième fois de la soirée, Harry la vit se cambrer sous une vague de plaisir plus forte. Harry était sûr qu’elle aurait poussé un véritable cri si le membre de Georges ne l’étouffait pas. Fred se retira du sexe ruisselant de l’adolescente. Georges en fit de même de sa bouche. Malgré tout, Angelina ne parut pas du tout contrariée, devinant que ce n’était pas encore fini. Georges s’allongea sur le sol, invitant la jeune fille à s’installer sur son sexe vigoureux. Elle ne se fit pas attendre, tournant le dos à Georges. D’une main experte, elle fit appuyer le gland du rouquin sur son entrée du plaisir et s’empala sur toute la longueur du sexe dur en poussant un râle. Fred s’approcha debout de la jeune fille qui ne se fit pas prier pour le prendre dans sa bouche.

Harry était sidéré par le rythme avec lequel Angelina montait et descendait sur le pénis de Georges. C’est alors qu’il remarqua que la respiration de Katie se faisait plus saccadée contre son épaule. Sans même le remarquer, il avait glissé un doigt dans son antre des plaisirs et avait calqué le rythme de ses va-et-vient sur celui d’Angelina. Mais il n’arrêta pas, la gamine semblant apprécier au plus haut point ce traitement. Elle-même se montrait plus vigoureuse sur le sexe d’Harry. Le nœud retenant la serviette du jeune garçon avait lâché et elle avait glissé au sol. De sa main libre, Harry retira la serviette de Katie, dévoilant une poitrine naissante mais dont les tétons étaient durcis de désirs. Il ne résista pas et sa main caressa son jeune sein.

Angelina se mit à pousser de petits cris de plaisir. Elle jouissait en ondulant sensuellement du bassin, le sexe de Georges toujours fiché en elle. Elle reprit son souffle un instant, suçant encore un peu Fred. Puis elle se retourna pour faire face à Georges. Harry apprécia la souplesse dont elle fit preuve en parvenant à se retourner sans que le rouquin ne se retrouve en dehors de son humide intimité. Elle ondula des hanches en creusant les reins, mettant au jour son petit anneau. Fred ne fut pas long à comprendre l’invitation. Il appuya son gland contre l’orifice et y pénétra doucement. Angelina ferma les yeux en soupirant, son visage exprimant autant le contentement que la douleur. Fred parvint à entrer jusqu’à la garde. Il commença alors des va-et-vient tout en douceur. Georges attendait patiemment sans bouger qu’Angelina s’habitue à la présence des deux pieux de chair en elle. Et ce fut elle qui donna le départ pour ses deux amants en recommençant à onduler des hanches en soupirant d’autant plus fort qu’elle n’avait plus rien entre les lèvres. Harry ne s’attendait pas à voir ça. Angelina n’eut bientôt plus besoin de bouger, les frères Weasley s’activaient en elle de plus en plus vite. Elle se mit à ne plus se retenir et à hurler sous les assauts dans ses deux orifices. Harry se demandait combien de temps les jumeaux pouvaient tenir un rythme si effréné. Il eut la réponse quand ils cessèrent d’un coup, comme s’ils s’étaient fait un signe pour s’arrêter. Angelina elle ne s’arrêta pas. Emporter par le plus violent orgasme de la soirée, elle vibrait littéralement sur les deux pénis en hurlant. Elle subissait avec ravissement un orgasme multiple qui la faisait aller et venir sur les deux membres aussi vite que quand les jumeaux s’activaient en elle. Quand elle commença à ralentir, ceux-ci reprirent leur double pénétration avec autant de vigueur. Angelina tentait de reprendre son souffle tout en haletant. Et finalement, les deux frères se retirèrent d’un geste presque synchrone, chacun se masturbant rapidement. De longs jets de sperme jaillirent de leurs sexes et vinrent inonder la fente et les fesses d’Angelina. Celle-ci apprécia la sensation de chaleur du fluide sur sa peau, son anneau et son intimité. Elle s’était totalement effondrée sur Georges. Fred s’était aussi allongé sur son dos. Leurs sourires suffisaient pour comprendre qu’ils étaient tous les trois pleinement satisfaits.

Harry sentait qu’il ne serait plus très long à venir. Et il ne voulait pas être repéré maintenant par les trois amants. Mais il ne savait pas s’il pourrait retenir un râle de plaisir tant la main de Katie sur son sexe était douce. Celle-ci avait-elle pensé à la même chose ? Toujours est-il qu’elle tira Harry à elle pour l’embrasser passionnément. Harry sentit alors la gamine se contracter autour de ses doigts et un orgasme s’étouffer sur ses lèvres. Il ne lui en fallut pas plus pour jouir à son tour, arrosant le doux ventre de Katie de semence. Les deux gamins continuèrent à s’embrasser durant un moment, ne désirant pas faire cesser cet instant magique. Mais ils furent ramenés à la réalité par les trois autres qui se déplaçaient dans le vestiaire. Harry et Katie prirent peur en découvrant qu’ils prenaient leurs affaires de douches. C’était pourtant logique après autant d’efforts. Harry regarda autour de lui en espérant trouver une cachette. Il se saisit des deux serviettes et tira Katie par la main vers le placard où les produits et matériels d’entretien des douches étaient entreposés. Il ne referma pas la porte entièrement pour surveiller ses coéquipiers. Ces derniers, hilares, se rendirent tous les trois dans les douches des garçons. Harry soupira, rassuré. Ils devraient rester là tous les deux, le temps qu’ils s’en aillent. Surtout qu’ils avaient besoin d’une bonne douche eux-aussi.

Harry referma la porte. Le placard était petit et ils devaient tous les deux se tenir étroitement pour y tenir. Harry se souvint qu’ils étaient encore tous les deux nus. Il sentait le corps de Katie contre le sien et la douceur de sa peau. Il n’en fallut pas plus à son membre pour redresser fièrement la tête. Se faisant, il effleura doucement la cuisse de Katie. Cette dernière n’en parut pas outré et elle parcourut le corps du garçon jusqu’à trouver le pénis durci d’Harry. Elle le masturba doucement. Harry essaya de rejoindre son intimité mais avant qu’il ne puisse l’atteindre, la gamine s’était agenouillée. Harry n’avait pas osé espérer qu’elle en vienne à faire ça, mais il ne comptait pas l’arrêter. Il sentit les lèvres de Katie déposer un baiser sur son gland avant de l’entourer tendrement. Imitant Angelina précédemment, elle fit des va-et-vient avec sa bouche tout en le masturbant d’une main. Parfois, elle le retirait de son bouche pour donner quelques coups de langue. Harry sentit son corps se tendre alors qu’il se répandait dans la bouche de la fillette en poussant un râle de plaisir. Cette dernière fut surprise mais ne retira pas le pénis et avala toute les giclées. Elle nettoya consciencieusement le membre avec sa langue.

Quand elle se releva, frottant ses petits seins contre le torse d’Harry, ce fut à son tour de s’agenouiller. Il voulait rendre à Katie ce qu’elle lui avait donné. Il trouva son bouton d’amour et le titilla de sa langue. Il trouvait son gout absolument exquis. Il parcourut toute sa fente, s’enfonçant entre ses lèvres intimes et se délectant de sa mouille. Il concentra les efforts de sa langue sur le clitoris gonflé et fit pénétrer un de ses doigts dans son vagin. Il sentait la fillette frissonner de désir à chaque va-et-vient. Il s’activa progressivement de plus en plus vite. Les soupirs de Katie se firent plus pressant. Et soudainement, elle se mit à trembler en haletant, poussant même de petits gémissements.

Harry se releva pour rejoindre Katie. Elle l’entoura de ses bras pour l’embrasser en remerciement du plaisir qu’ils s’étaient mutuellement donnés. Ils entendirent les trois autres sortirent de la douche, se rhabiller et partir. Alors seulement ils osèrent sortir du placard. Ils prirent leur douche ensemble, se savonnant mutuellement en mettant l’accent sur leurs sexes. Mais ils n’allèrent pas plus loin ce soir là. Ils se rhabillèrent.

Et au moment de quitter les vestiaires de Gryffondor, Katie embrassa une fois de plus Harry. Le garçon ne se fit pas prier pour répondre à son baisé. Lorsque leurs bouches se séparèrent, elle lui souriait.

« On remettra ça j’espère, dit-elle.

-J’espère aussi, dit Harry d’un ton qui avait tout d’une promesse. »

Un dernier baisé et ils rentrèrent sagement vers le château.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Harry
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Mardi 11 janvier 2 11 /01 /Jan 22:43

Pardon d'intervenir encore une fois avant la contribution d'un auteur mais je tenais à saluer le retour de la très talentueuse Bibi-chan que nous avons déjà deux fois publié ici et qui a mis bien (trop) longtemps pour nous fournir le troisième et dernier chapitre de sa superbe histoire. Pour vous les remettre en mémoire, voici les liens vers les deux premiers chapitres :

 

Voir le premier chapitre

Voir le second chapitre

 

Une contribution de Bibi Chan

 

Nymphesis : sex toy part 3

 

 

   Assis sur le canapé de la Salle Commune qu’il partageait avec Harry, les coudes pliés et les mains croisées derrière la nuque, Drago écoutait vaguement les ébats de son complice de dépravation provenant de la chambre adjacente. Il attendait patiemment que celui-ci eût terminé sa petite distraction de début de soirée, en vue de lui raconter avec vanité de quelle manière il avait achevé la sienne, la veille, n’ayant pu le faire dans la journée. Il jubilait à l’avance en imaginant sa tête déconfite lorsqu’il lui raconterait avoir exploré l’intimité de celle qu’ils avaient tous deux convoitée – en n’oubliant surtout pas d’exagérer les détails croustillants, afin d’attiser un peu plus sa jalousie. Fier de la réaction qu’il croyait bientôt engendrer chez son acolyte grâce à cette expérience inédite, il rêvassait à son récent privilège quand ses prunelles se posèrent sur un livre abandonné sur la table du salon. A la vision du titre des moins accrocheurs sur la jaquette : “La reproduction des gastéropodes en milieu hostile”, il en conclut que l’ouvrage devait appartenir à la conquête actuelle de son colocataire, sachant pertinemment qu’il n’irait jamais s’adonner de son propre chef à telle sorte de loisir. Encore une qui se fait passer pour une élève modèle ! se dit-il.

 

    Le blondinet se redressa et l’attrapa dans le but d’en feuilleter distraitement le contenu. Il l‘ouvrit au marque-page – une enveloppe vierge –, espérant ainsi se moquer des goûts littéraires de la demoiselle dont Harry avait retroussé les jupons. Cependant, en reconnaissant sur-le-champ la prose d’un auteur qui n’avait d’autre valeur que l’écriture de cochoncetés – la fameuse Bibi Tchane, uniquement reconnue au travers de sa prestigieuse médiocrité –, il fut pris d’un doute atroce. Outre le fait que la jaquette ne servait qu’à masquer la vraie couverture de la production, il avait vu un exemplaire identique traîner sur le lit de Hermione avant de partir tôt dans la matinée. Amusé, il avait profité de son sommeil pour glisser un mot à l’intérieur, dans lequel il lui proposait de renouveler leur sauterie. Le jeune homme avait même choisi de le placer au moment le moins pathétique de l’histoire – voire le plus enfiévré, façon de parler –, où l’héroïne se faisait honorer par ses deux prétendants au rôle de Nymphésis… passage qu’il lisait présentement. Et l’énervement le gagna en découvrant que l’enveloppe dissimulait ladite proposition.

 

« L’enfoiré ! » s’exclama-t-il.

 

    Lui qui se faisait une joie d’irriter le Gryffondor en lui louant son exploit, il réalisa que le précité lui avait emboîté le pas. La lecture du trio endiablé avait dû donner des idées à la jouvencelle et son traître de compagnon avait immédiatement sauté sur l’occasion, le temps qu’il allât se restaurer. Certes, il avait personnellement joui des faveurs de l’insoupçonnée dévergondée et comptait en retirer tout le bénéfice, seul et sans scrupule, mais c’était chose inhérente à sa nature ! Où était donc passée la générosité de son vicieux d’ami ?! N’aurait-il pas pu retarder l’évènement jusqu’à son retour, en toute cordialité ? A ce propos… Comment diantre arrivait-il encore à être d’aplomb après la nuit mouvementée qu’il avait eue ? Car ayant à de multiples reprises partagé sa paillardise, il avait noté que le Rouge et Or s’illustrait davantage avec ses “Trois p’tits coups de reins et puis s’en vont…”, qu’au travers de capacités gargantuesques ! Bon, ok… Il était médisant. Plutôt cinq coups que trois, pour être – presque – honnête : deux au premier tour et trois au deuxième. Il a dû se doper avec une potion, c’est pas possible autrement ! se convainquit-il, puisque lui-même n’aurait pu tenir telle cadence sans avoir un souci de démarrage avec son Mini Lui et sa libido préalablement assouvie. Déterminé à gâcher la partie de plaisir que son compère de luxure s’offrait, il jeta le livre par terre et s’avança d’un pas lourd vers le lieu de débauche. Puis il cogna à la porte et hurla :

 

« Potter ! Le professeur Rogue sait tout de tes activités sexuelles ! Alors, je te signale que je lui ai évidemment assuré que tu m’avais fait un chantage honteux pour que je me la ferme et il veut te voir illico dans son bureau ! Je te conseille de t’y pointer en vitesse, il était d’une humeur massacrante ! poursuivit-il avec ironie. T’inquiète, comme je suis un mec sympa, je veux bien me sacrifier pour ne pas laisser ta copine en plan… » finit-il d’un ton faussement résigné.

 

    Le silence fut d’abord la réponse à sa tirade, quand il perçut enfin une voix enjouée féminine au bout de quelques secondes et un : “C’est bon, entre”. Ne se faisant absolument pas prier, Drago s’exécuta et contempla le couple à la lumière des chandelles, complètement nu sur la couche et dans une situation des plus compromettantes, en plissant les yeux d’un air ostensiblement mécontent. Allongé sur le dos, son coéquipier de jeux interdits le fixait avec malice tandis que ses mains étaient posées sur les hanches de Hermione, confortablement installée à califourchon sur lui. Celle-ci se retourna légèrement vers le nouvel arrivant et lui adressa un sourire espiègle, conjugué à une œillade qui le conviait sans nul doute à participer.

 

« Ah ? Tu nous as entendus ? lui demanda Harry, railleur, ayant parfaitement détecté ses mensonges.

 

— Si peu…

 

— Que veux-tu Malefoy, c’est ça d’avoir des qualités très recherchées ! le taquina-t-il en soulevant gentiment son amante en vue de la gratifier d’un petit coup de reins, la faisant glousser d’aise.

 

— Ben voyons ! grommela-t-il.

 

— Oh ! Arrête de bougonner et viens nous rejoindre. Hermione est d’accord. »

 

    Après lui avoir lancé un coup d’œil meurtrier et ravalé sa fierté, le Serpentard accepta, refusant de manquer telle opportunité. Et tant pis si Malefoy Junior avait perdu de sa superbe et risquait de se ridiculiser. Mais heureusement pour notre pauvre ami, il distingua sur la table de chevet une fiole qui contenait un produit salvateur : le “Sexus Dynamicus pour les nuls”. Aussitôt, il émit un rire sarcastique et s’avança vers l’objet dont il ignorait la provenance – ce qui ne lui importait pas, au final. Il s’en empara et considéra de ses prunelles moqueuses son condisciple, qui fit mine de l’ignorer, dévissa le bouchon et en but une gorgée.

 

« Une seule gorgée et tu pourras le faire deux ou trois fois à suivre, en gardant la forme, lui confia l’adolescente, les iris pétillants. C’était destiné à un de mes ex qui l’a assez mal pris et a préféré rompre. Je ne comprends pas pourquoi… » plaisanta-t-elle.

 

    Devant le regard perplexe du jeune homme, elle ajouta doucement – toujours positionnée sur son partenaire de lubricité – :

 

« Je suis venue ici à cause de ton mot et j’avais emmené ça au cas où, étant donné ta performance de la veille. Et… comme tu étais absent, j’ai discuté avec Harry et…

 

— Et une conversation en entraînant une autre… enchaîna gaiement ce dernier.

 

— Ca va, j’ai compris, le coupa-t-il, vexé.

 

— Bon ? Tu viens ? » murmura-t-elle sensuellement.

 

    Avec précaution, la jolie mutine ôta la masculinité turgescente nichée en elle, se pencha en avant et se cambra tout en rehaussant d’une manière suggestive la rondeur de ses fesses. Les yeux de l’intéressé s’écarquillèrent face à telle invitation, dévorant les courbes si gracieusement offertes. Il se hâta en conséquence de se dévêtir et, chose accomplie, s’agenouilla derrière l’aguicheuse, entremêlant ses jambes à celles son prédécesseur. Ses lèvres embrassèrent le dos de la coquine ; ses doigts câlinèrent son épiderme délicat et s’en allèrent ensuite visiter son puits fécond, déjà empli de cyprine. Son index et son majeur flattèrent les parois internes de ce fruitier tentateur tout en en appréciant la chaleur. Le bruit licencieux créé par leurs allers et retours résonna érotiquement aux oreilles de leur propriétaire qui, ravi de constater sur lui-même l’efficacité de la potion ingérée, décida d’en profiter. Aussi attira-t-il la mignonne un peu plus vers lui pendant qu’il guidait son érection aux portes de son éden et, d’un mouvement enthousiaste, il s’insinua totalement en elle. La sensation d’investir son humide coeur fut si grisante qu’il poussa un bref gémissement. Puis, se remettant de ce contentement, il tint fermement les hanches de la belle et entama ses coups de reins, cherchant à se glisser au plus profond de son exiguïté. Ses immixtions furent si exaltées que le claquement de leur peau respective rendit écho à leurs soupirs d’une plénitude lascive.       

 

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    De son côté, Harry dorlotait la poitrine de la demoiselle au-dessus de lui, qu’il dévisageait sous les assauts de son camarade. En appui sur ses paumes disposées autour de lui sur le matelas, paupières closes, le souffle entrecoupé d’exquis petits cris à chaque puissante pénétration du Serpentard, il adorait littéralement la découvrir sous cet angle. Une de ses mains se dirigea sans préavis vers le pétale de sa rose de charmes, afin de lui prodiguer une certaine douceur qui lui ferait assister à sa félicité aux premières loges. D’un geste pondéré qu’il tenta de maintenir à un rythme régulier, malgré les oscillations exercées sur le corps de la Rouge et Or par son assaillant, il cajola le charmant bouton qu’il avait eu plaisir à suçoter précédemment. Il continua son action une minute lorsqu’il devina son ravissement imminent, au travers de ses halètements. Drago semblait le sentir pareillement, ayant précipité son allure. Ce fut donc avec joie que ses oreilles accueillirent l’extase de la jouvencelle et que sa vue se délecta de la voluptueuse expression de son visage. Depuis le temps qu’il en rêvait, il était aux anges de l’y avoir – en plus – aidée. Il parsema son cou de baisers et, un court instant plus tard, fit savoir à son congénère qu’il voulait prendre le relais.  

 

    Complètement sous le joug de la nébuleuse post-orgasmique, la privilégiée s’abandonna aux bons soins de ses amants et consentit à suivre leurs muettes et tendres indications. Ainsi se retrouva-t-elle encore à genou entre les deux garçons, mais dans le sens inverse. Elle hoqueta de surprise en percevant son ami d’enfance la saisir par la taille et la posséder avec vigueur. Séance tenante, elle témoigna de sa satisfaction, ne regrettant définitivement pas d’avoir apporté la préparation stimulante. Voilà qui s’annonçait être un de ses meilleurs week-ends de l’année ! Elle vit soudain le Vert et Argent s’approcher d’elle, frôler ses lèvres de son pouce et pointer vers celles-ci son intimité dressée. Elle leva la tête et ses iris rencontrèrent ceux enflammés de son vis-à-vis. Incontinent, la libertine comprit sa requête silencieuse et se livra à la caresse buccale souhaitée. Ses doigts s’enroulèrent à la base de cette friandise charnelle et effectuèrent d’harmonieux va-et-vient tandis que sa langue la parcourait posément, émerveillée par la délicieuse fusion du liquide séminal de ses partenaires et de sa liqueur sexuelle. Et la polissonne finit par la prendre en bouche en intensifiant son œuvre, encouragée par la respiration devenue rapide du concerné.

 

    Ce dernier était charmé par cette attention et se régalait du spectacle de la jeune fille à quatre pattes entre eux deux. Ses prunelles savouraient d’ailleurs sans retenue le rebondi de son bassin sous les allers et venues euphoriques de son colocataire, et son effervescence augmenta en croisant les regards coquins que lui lançait sa bienfaitrice. Il toucha amoureusement ses joues rosies et passa une main dans ses cheveux bouclés pour la remercier, en l’incitant à prolonger son entreprise enivrante. Merlin ! Il espérait que ce cher Potter en aurait vite terminé, tant son avidité de jouir se faisait croissante. Ce qui ne tarda pas à être le cas, puisqu’il vit le précité amplifier sa cadence ; Hermione poussant de petits gémissements diablement excitants à chaque fois que le bientôt comblé s’enfonçait en elle avec ardeur. Le râle éclatant que Harry manifesta subitement fut le signe de sa délivrance et à peine la place fut-elle libérée que, n’y tenant plus, notre blondinet pressa l’adolescente à s’allonger.

    Il se colla à elle et l’embrassa passionnément, l’éveillant davantage à la concupiscence, et se faufila ensuite entre ses cuisses. Ivre de désir, il se fit réadmettre sur-le-champ dans son étroitesse pleine de semence et la visita dans toute son étendue, entrant et sortant avec adresse. Par moments, il ralentit sa manœuvre pour l’accélérer à brûle-pourpoint, embrasé par l’idée d’être en elle dans l’entièreté, haletant au-dessus d’elle, les yeux plongés dans les siens et faisant onduler ses seins par ses vifs coups de reins. Le royaume féerique lui ouvrit finalement ses portes et ce fut en nichant son visage dans le cou de sa dulcinée qu’il éprouva l’onde prodigieuse, déposant en son intérieur sa généreuse contribution.

 

    Prêt à revenir à la charge grâce à la solution miraculeuse, le Gryffondor attendit que son opposé cessât son baiser langoureux avec la belle et s’écartât, afin d’en échanger un avec elle. Il lui prouva son affection en effleurant son corps avec sensibilité, entretenant son appétence, puis il installa ses fines jambes sur ses épaules et s’inclina vers elle en s’appuyant sur ses bras tendus. Son vit reconnut immédiatement le chemin qui menait au paradis et s’y engagea derechef. Il l’honora d’habiles va-et-vient, engendrant un son lubrique en vertu de l’importance de leurs fluides sexuels respectifs ; quelques gouttes de sueur tombant de son front sur le sien délicat. Harry perpétuait son ouvrage avec célérité quand l’envie de conclure autrement lui traversa l’esprit. Subséquemment, il s’arrêta dans le but de lui faire part de son ambition et fut enchanté par son assentiment. Il s’assit donc à sa droite tandis qu’elle se redressait et la laissa sucer sa virilité avec gourmandise. Bien entendu, celle-ci s’appliqua à la tâche comme elle l’avait fait pour le Serpentard qui, en ce qui le concernait, avait déjà récupéré ses moyens.

 

    Drago salua mentalement les effets fantastiques de la potion et nota qu’il lui faudrait impérativement s’en procurer plusieurs bouteilles, dès que possible. Voyant que la petitesse de Hermione était à nouveau esseulée, il se précipita derrière elle et se déclara encore empereur de ses vallées secrètes, par de profondes immixtions. Pendant que son ancien ennemi était gagné par une deuxième extase et que son amante dégustait ses chaudes gerbes saccadées, son regard était rivé sur l’essence de sa symbiose avec elle. La convoitise de la remplir une seconde fois se fit tellement impérieuse que, même essoufflé, il ne changea rien à son rythme. Peu après, il vit son homologue caresser le point d’amour de la mignonne et distingua aussitôt de délicieuses contractions internes qui, conjuguées à la capiteuse odeur de leurs sécrétions corporelles, accrurent son plaisir. Et lorsqu’il ouït son orgasme, il ne put s’empêcher de la pénétrer avec plus de fougue. Le paroxysme de leur union le submergea brusquement, le faisant presque crier sous la jouissance alors qu’il éjaculait en elle le fruit de ses entrailles.

    Enfin, la vague de volupté consommée, il se blottit dans son dos et l’étreignit tendrement, appréciant avec elle les dernières sensations de béatitude durant de longues minutes.

 

    Puis il lui chuchota doucement à l’oreille :

 

« Eh bien mon Impératrice, as-tu décidé qui serait désormais ton Nymphésis ? »

 

    Un rire étouffé féminin fut sa première réponse, jusqu’à ce qu’un discret : “Tu es libre tous les prochains samedis soirs ?” et une œillade malicieuse vinrent le contenter dans sa fierté et lui arracher un sourire radieux.

 

 

 

Fin.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 15:47

520679543

 

Chers amis lecteurs,

 

J'ai constaté récemment que Over-blog/Erog s'était enfin décidé à laisser le choix aux blogueurs de diffuser ou non des publicités sur leurs blogs. Cette solution avait, je le rappelle, était avancée dès le début du "conflit" avec le staff d'Over-blog. Il leur en aura fallut du temps pour se rendre à l'évidence. Le petit mouvement de résistance auquel nous avons participé aura eut son effet.

 

Malgré les problèmes rencontrés, Over-blog/Erog reste une plateforme de blogs très performante, c'est pourquoi je me suis décidé à retourner vers l'ancien blog. Je remercie tous ceux qui ont suivit le mouvement. Je tiens à remercier particulièrement Dragon musique pour nous avoir fournit ce blog durant le temps de la rébellion.

 

Les prochaines histoires seront donc à nouveau diffuser ici.

Poudlard Secret
Par poudlardsecret - Publié dans : Infos Poudlard Secret - Communauté : Non à la Pub Erog
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