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Mardi 15 mai 2 15 /05 /Mai 16:53
Encore un petit mot, vraiment rapide cette fois, étant donné qu'il n'est plus besoin de présenter Bibi-chan et sa merveilleuse fiction. Juste une précision donc, elle a elle-même fournit les illustrations pour son histoire. Merci encore à elle et bonne lecture.

Contribution de Bibi-chan
Nymphésis : sex toy part 2

 

WARNING!!



Je vous rappelle que tous rapports anaux (merci de penser à utiliser la VASELINE et de ne pas faire comme les PORNOS), buccaux (pour le cunnilingus, il existe la digue dentaire, qui est un bout de latex prévu en conséquence, sinon, employez un bout de préservatif en l'étirant), ou vaginaux sans protection sont des rapports à RISQUE! N'imitez donc pas les protagonistes de cette histoire qui ont un comportement des plus dangereux.

Mais heureusement pour nous, ceci est une fiction.

A part ça, enjoy et n'oubliez pas: La capote est votre meilleure copine ! ^-^

 

 

Hermione revenait de la salle de bain après avoir tenté de calmer l’appétence de ses sens avec une douche bien froide. Avant de se glisser dans la chaleur de ses draps, elle avait revêtu son éternel pyjama en coton blanc, version jeune femme célibataire depuis trop longtemps, sur lequel étaient imprimés de fiers petits lapins roses gambadant parmi les fleurs. Comme tous les samedis soir, elle allait bien entendu s’adonner à sa très attendue caresse hebdomadaire en solitaire, mais elle décida de parachever la masturbation de son esprit – déjà fortement stimulé par les visions qu’elle avait eues – en continuant la lecture d’un livre récemment acquis, intitulé “Nymphésis, Sex Toy”. L’action de ce dernier se déroulait au cœur d’un monde gouverné par les femmes, où les hommes étaient réduits à l’état de simples reproducteurs et jouets sexuels pour ces dames. Notre jolie Gryffondor s’identifiait d’ailleurs totalement à l’héroïne de ce roman : Nymphe, jeune Impératrice de dix-sept ans. Nymphésis était le nom attribué au favori de celle-ci – place très convoitée par les mâles puisque ce statut privilégié leur permettait de bénéficier de nombreux avantages. Son dernier préféré s’étant fait trop paresseux à son goût, Nymphe avait décidé d’en changer et était allée à Jouetclub’s Marché afin de s’en procurer un tout neuf. Hésitante entre deux jouvenceaux d’une époustouflante beauté, respectivement prénommés Dan et Tom, elle avait fini par tous deux les acheter et s’était empressée de retourner au palais en vue de les tester un par un. Car nul ne pouvait prétendre au titre de favori avant d’avoir fait ses preuves auprès de la souveraine.

 

   Cette œuvre, très inspirée, avait été écrite par une certaine Bibi Tchane – encore un nom à coucher dans la cabane hurlante me direz-vous –, piètre auteur plus connue pour ses scènes cochonceteuses que pour ses intrigues débordantes d’originalité. Mais cela importait peu à notre mignonne Rouge et Or, qui adorait littéralement ses écrits pour tous les détails fournis quant aux ébats charnels entre les divers protagonistes. Elle était d’ailleurs rendue à un passage des plus émoustillants, qui décrivait ledit Tom en train de faire passionnément et sauvagement l’amour à sa belle dans toutes les positions inimaginables, démontrant ainsi ses excellentes qualités d’amant. Qui plus est, ce dernier ayant étrangement les caractéristiques physiques d’un certain Malefoy, elle commençait sérieusement à se représenter l’action en imaginant ce cher Serpentard la posséder de la même façon que le jeune premier du livre précité.

 

Malefoy…Sex Toy…, songea-t-elle.

 

Tiens, ça rime !

 

   Elle quitta des yeux un instant sa bible sexuelle pour se remémorer la torride scène qu’elle avait pu voir un peu plus tôt. Bon sang, d’après les gémissements de la Poufsouffle, se faire monter par le Vert et Argent devait être une sacrée partie de plaisir ! D’autant qu’elle n’avait jamais testé une autre position que celle du matelas-vivant, plus communément appelée “missionnaire”, tandis que celle à quatre pattes lui semblait beaucoup plus intéressante ! Elle repensa alors à son amie Ginny qui, tout comme elle, avait paru des plus frustrées ces derniers temps pour soudainement afficher en début de semaine une mine rêveuse et satisfaite. A ce changement, elle avait prétexté avoir simplement passé une excellente soirée à jouer aux Dominos en toute innocence avec Harry et Drago, qui-passait-par-là-comme-par-hasard-et-aurait-eu-une-subite-fascination-pour-ce-jeu-Moldus, selon elle.

 

Ouais, c’est ça…Je suis sûre que tu as dû sacrément t’amuser à les enchaîner les Dominos ! se dit-elle, légèrement vexée.

 

   A quoi servait une amie si elle n’était pas fichue de vous indiquer les bons plans ?! Elle aurait pu au moins lui avouer que leur ami commun savait se rendre profondément utile auprès de la gent féminine aux vues de ses naturelles dispositions ! Et surtout : que l’autre serpent à sonnettes savait apparemment très bien manier son corps de reptile – de la tête à la queue – pour se mouvoir avec autant d’aisance et faire ainsi prendre son pied à une petite chanceuse, comme elle-même n’avait jamais encore joui ! Certes, elle n’avait cessé de clamer à ses amis qu’elle le détestait afin de les rejoindre dans leurs opinions de parfaits Gryffondors, mais c’était pour mieux dissimuler ce qui la rongeait en réalité intérieurement. Car la demoiselle était contaminée par une étrange maladie qui se révélait extrêmement contagieuse dès l’âge de la puberté atteint : l’irrésistible inclination pour les sexy mauvais garçons ; Malefoy étant l’incarnation même de cet archétype, d’après elle. Il était évidemment hors de question de révéler ce penchant à ses acolytes, qui y auraient vu là folie pure et traîtrise hormonale. Cependant, la récente découverte de la complicité sexuelle qu’entretenait Harry avec son ennemi, conjuguée à sa certitude que Ginny s’était envoyé dernièrement le beau Serpy, lui faisait à présent songer à réviser sérieusement sa position. Pourquoi resterait-elle dans l’ignorance du plaisir, quand ledit Bad Boy semblait tout à fait prêt à lui donner ce qu’elle souhaitait ?

 

Quelle conne ! J’aurais dû essayer de me le faire bien avant !

 

   Un bruit mat vint tout à coup la sortir de ses libidineuses pensées. Elle tourna donc la tête vers la provenance de ce son et son cœur bondit dans sa poitrine en découvrant l’objet de ses refoulées envies à sa fenêtre, chevauchant crânement son balai dans les airs et arborant un sourire malicieux.

 

« Malefoy ? » murmura-t-elle, les yeux écarquillés de surprise, en reposant son livre sur le lit.

 

   Curieuse de connaître la raison de sa venue, Hermione ne se fit pas prier pour aller ouvrir la fenêtre et vit le Serpentard s’engouffrer immédiatement dans la pièce sans même attendre d’y être invité.

 

« Fais comme chez toi ! lança-t-elle sarcastiquement, pour marquer son impolitesse, en notant la douce fragrance qu’il avait laissée en passant devant elle.

 

— Merci, c’est bien ce que je compte faire ! répondit-il sur un ton identique, en posant son balai sur le bureau.

 

— Pardon ?! »

 

   Elle n’eut pas le temps d’ajouter quoi que ce soit qu’il avait déjà sorti sa baguette de la poche arrière de son pantalon noir et jeté un sort d’insonorisation, pour ensuite sceller porte et fenêtre d’une autre formule magique. Puis il plongea ses iris pétillants de concupiscence dans ceux étonnés de la jeune fille et dit avec facétie :

 

« Potter m’a confié que tes camarades de chambre n’étaient jamais là le samedi soir… Alors j’ai pensé que tu avais peut-être besoin de compagnie ? »

 

   Déconcertée, elle hésita quelques secondes avant de répliquer :

 

« Ta Poufsouffle t’a laissé en plan pour que tu viennes me voir, ou quoi ? Tu es encore en manque ?!

 

— Elle est toujours là-bas si tu veux tout savoir, rétorqua-t-il avec espièglerie en s’avançant vers elle. D’ailleurs, je devrais être en train d’attaquer le second round, mais… »

 

   Arrivé à seulement un mètre de l’adolescente, il ferma soudainement les paupières et se mit à renifler, comme s’il humait avec délice une senteur qui semblait enchanter ses papilles olfactives.

 

« Cette odeur…, reprit-il avant de la fixer de nouveau avec intensité, en souriant de plus bel. Dis-moi Granger, qu’est-ce qui t’a mis dans un tel état d’excitation pour que je puisse sentir ta cyprine d’ici ?

 

— Quoi ?! s’exclama-t-elle, les joues rougissantes.

 

— Elle est légèrement masquée par le parfum du savon que tu as utilisé pour te laver, mais s’il y a une chose que je sais pertinemment reconnaître chez une femme, c’est bien cette odeur qui trahit l’effervescence de son corps. »

 

   Drago continua de s’approcher de la demoiselle et s’arrêta à quelques centimètres de son visage, appréciant la confusion qui s’était nichée au sein de ses prunelles. Puis il lui caressa doucement la joue du revers de la main et lui chuchota suavement à l’oreille :

 

« Les notes fruitées de ton essence sexuelle me rappelle cet aphrodisiaque qu’est la vanille, ce qui la rend particulièrement stimulante… J’ai sincèrement hâte de la goûter. »

 

   Il n’en fallut pas davantage à la jouvencelle pour éprouver instantanément une fugace sensation de chaleur dans le bas-ventre, aussi extatique que l’était le fait de s’imaginer la langue du jeune homme effleurer avec langueur les nymphes de son intimité. Aucun de ses abrutis d’anciens petits amis n’avait daigné la gratifier de cette douceur qui semblait pourtant être une des meilleures ! Pourquoi irait-elle donc se faire violence en refusant une telle proposition de sa part ?!

 

« Heureusement que je n’ai pas encore perdu l’usage et l’adresse de ma langue comme tu sembles avoir perdu la tienne en ce moment, Granger. »

 

   La seconde suivante, la concernée hoqueta brusquement de surprise en sentant le Serpentard empoigner fermement ses fesses pour la soulever et l’inciter à entourer sa taille masculine de ses fines jambes. Instinctivement, elle passa ses bras autour de son cou et se laissa porter ainsi jusqu’au mur, sans mot dire.

 

« De quelle manière veux-tu que je te fasse l’amour, ma belle ? demanda-t-il d’un ton diablement sensuel. As-tu envie que je te prenne de la sorte, plaquée contre ce mur ? Souhaites-tu expérimenter toutes les positions que tes Trolls d’ex-amants ne t’ont jamais fait découvrir ? »

 

   A ces mots, une deuxième vague exaltée réchauffa sur-le-champ le creux de ses reins, achevant de semer le trouble et l’avide besoin de rapports charnels au plus profond de son être. Elle réussit néanmoins à articuler :

 

« Comment…

 

— Certaines filles m’ont fait quelques confidences sur l’oreiller, après avoir partagé la couche des idiots avec lesquels tu as toi-même couché, la coupa-t-il en la regardant d’un air mutin. Fais-moi plaisir et rends-toi service la prochaine fois que tes hormones te travailleront : viens me voir au lieu de t’envoyer des dégénérés congénitaux ! Tu ne peux pas savoir à quel point je serai enchanté de te combler ! »

 

   Pour ajuster le geste à la parole, le blondinet commença à l’embrasser lascivement dans le cou, avant de débuter quelques légers coups de reins pour simuler l’acte sexuel tout en la maintenant habilement pressée contre lui. La réaction de l’adolescente ne se fit pas attendre, puisqu’elle enfonça ses doigts dans le pull bleu du garçon et enserra un peu plus ses cuisses autour de son corps, pour laisser ensuite un soupir de béatitude s’échapper de ses lèvres rebondies.

 

« Alors dis-moi…, lui susurra-t-il. Qu’est-ce qui a pu susciter ton humidité avant que je ne n’arrive ? As-tu repensé à ce que tu avais vu ce soir ? T’es-tu imaginée à la place de cette fille ? demanda-t-il d’une voix empreinte de désir, en lui suçant le lobe de l’oreille. As-tu fantasmé sur l’idée de te faire caresser par Potter et moi, en même temps ? Aimerais-tu que nous te fassions l’amour l’un après l’autre ? »

 

   La jeune fille restait muette à l’énoncé de ces paroles érotiques, mais son souffle se fit plus saccadé et ses joues s’enflammèrent littéralement. Voyant cela, Drago décida d’intensifier son exaltation manifeste en déposant quelques doux baisers sur son visage, tout en poursuivant malicieusement :

 

« T’es-tu représenté nos corps perlant de la sueur du plaisir blottis contre le tien dans une étreinte enfiévrée ? Souhaites-tu sentir nos sexes s’enfoncer au plus profond de ton ventre avec passion pour te mener à l’orgasme ? »

 

   Puis il marqua une courte pause avant de plonger ses yeux dans les siens et conclure dans un murmure sexuellement envoûtant :

 

« As-tu maintenant envie que je te fasse jouir en te faisant l’amour ? »

 

   Pour seule réponse, elle acquiesça de la tête entre deux halètements discrets et apprécia le délice de percevoir enfin sa langue masculine se glisser entre ses lèvres, pour s’entremêler à la sienne.

 

   Merlin que le changement de programme pour la soirée semblait réellement bien s’annoncer !

 

   Impatient de passer à l'action, le Serpentard se dirigea vers le lit sans quitter la bouche de sa conquête et l'y déposa délicatement. Puis il remit sa baguette dans sa poche et s'allongea pleinement sur elle tout en approfondissant le baiser, alors qu'elle glissait ses paumes sous son pull afin de toucher sa peau nue. Au bout d'une minute, il se redressa sur ses avant-bras et lui lança un regard brûlant de convoitise, avant d'ôter brusquement et sans préavis son bas de pyjama de même que sa petite lingerie. Surprise et un peu gênée, la Gryffondor replia les jambes sur sa féminité ainsi dévoilée, tandis que le garçon esquissait un sourire de satisfaction et se délectait de la vue d'ensemble en se tenant debout devant elle. Ne voulant pas perdre de temps, il jeta les vêtements à terre et se débarrassa de son propre haut pour l'envoyer les rejoindre, permettant à la demoiselle de priser à loisir son torse presque imberbe et finement athlétique. Arborant un air coquin et prédateur, il s'agenouilla ensuite sur la couche aux pieds de sa mignonne et faufila une main entre ses cuisses pour effleurer le coeur de cet Eden voluptueux qui le conduirait bientôt à la jouissance. Doucement, il insinua un doigt dans les profondeurs de cette érotique contrée et déposa une tendre caresse sur son mollet afin de la détendre, lorsqu'il la perçut se contracter de l'intérieur. Chose réussie, il entreprit quelques va-et-vient au sein de son humide exiguïté et la vit fermer les paupières de plaisir quand il immisça un deuxième doigt en elle, tout en conservant un mouvement oscillatoire.

 

Merlin ! Elle dégage une de ces chaleurs ! pensa-t-il, se languissant d’avance de mettre une toute autre partie de son anatomie à cet endroit.

 


   Plus il prolongeait ce début de préliminaires, plus le nectaire de cette belle plante sécrétait ce liquide bien particulier qui avait le don de l’exciter démesurément lors de ses autres rapports sexuels. Il adorait toucher, humer, déguster la cyprine de toutes ses amantes qui se révélait être si différente et propre à chacune. Qui plus est, l’exquise odeur de celle de son actuelle partenaire était à elle seule la promesse d’un délicieux cunnilingus. Il retira son affectueuse main de l’accueillante intimité et fixa avec espièglerie la demoiselle qui avait rouvert les yeux. Il contempla ensuite avec envie la substance féminine répandue sur ses doigts, avant de les mettre dans sa bouche et de les faire lentement glisser entre ses lèvres masculines.

 

« Je savais que tu avais bon goût. » ronronna-t-il en souriant.

 

   Franchement, que voudriez-vous répondre à cela ?

 

   Les joues empourprées d’un léger embarras, Hermione ne sut que dire après le geste terriblement sensuel du garçon et ne se contenta que de le regarder avec fascination. N’étant absolument pas habituée à ce genre de choses, elle devait bien reconnaître que l’audace et l’érotisme aguicheur dont il faisait preuve la décontenançait un peu. Néanmoins, cela avait l’avantage d’accroître sa concupiscence et d’exacerber cet étrange besoin de se faire remplir, de combler cette soudaine sensation de vide apparue en son intérieur. Elle le vit ensuite placer son visage à l’entrée de son corps et sentit sa langue effleurer précautionneusement les portes de son privé fruitier, avant d’en franchir le seuil pour en apprécier les premières allées. Nul doute que le jeune homme devait être un jardinier hors pair étant donné sa dextérité à cultiver le plaisir au sein de son petit rosier.

 

   Après avoir langoureusement effleuré son petit point d’amour, Drago entreprit de s’insinuer le plus loin possible dans cette fleur en se régalant de son miel abondant, donnant véritablement l’impression à l’enchantée que ce dernier devait être des plus succulents. De manière instinctive, elle souleva donc son bassin et le colla contre la bouche de son amant, afin que sa langue bienfaitrice puisse visiter les plus reculées parois de son étroitesse. Et lorsqu’elle perçut ses lèvres emprisonner les nymphes de sa féminité, en effectuant silencieusement une délicate succion pour récupérer un peu plus de son nectar, elle sursauta faiblement de surprise mêlée au délice que lui procura cette nouvelle sensation. C’était à la fois plaisant et diablement enivrant que d’avoir le sentiment d’être à ce point savoureuse.

 

   Une fois rassasié du mets de la jeune fille – le meilleur qu’il n’ait jamais eu à estimer jusqu’à maintenant, il remonta à sa hauteur et se blottit doucement contre elle. Puis il prit appui sur son avant-bras et plongea ses envieuses prunelles dans celles troublées de la jouvencelle, avant de redessiner les contours de ses fines lèvres d’une main empreinte de légèreté. Sans détourner ses yeux des siens, il laissa deux doigts malicieux pénétrer sa petite bouche et débuta un voluptueux va-et-vient, en affichant un sourire coquin quand il la vit se plier à son jeu et sucer ces deux corps étrangers d’une si prometteuse habileté. Il ne lui restait plus qu’à espérer qu’elle accepterait d’en faire de même avec sa virilité parfaitement éveillée, qui manifestait d’ailleurs durement sa curiosité de rencontrer ces deux chaleurs humides que ses doigts avaient déjà eu la chance de visiter. L’instant suivant, il retira ces derniers pour les glisser sous le haut de pyjama – peu affriolant – de sa jolie conquête et engloba d’une paume gourmande un de ses seins. Rond et ferme, il s’engoua immédiatement de cet appétissant trésor, merveilleux symbole de l’érotisme féminin, qui contrastait assez drôlement avec les petits lapins enfantins imprimés sur la tenue qu’elle portait nuitamment. Il commença alors à flatter sans retenue cette courbe, qu’il comptait bien suçoter jusqu’à l’ivresse ultérieurement, et se pencha pour embrasser avec passion la Gryffondor. Il lui faisait déjà l’amour à travers ce long baiser, cherchant continuellement à s’immiscer au plus profond d’elle-même, leur langue se câlinant généreusement l’une et l’autre tandis que leurs soupirs d’aise se rendaient un écho mutuel.

 

« Tu as le goût de ma cyprine… » murmura-t-elle d’une voix émue par l’excitation.

 

   Le Serpentard répondit à sa constatation par un franc sourire, rehaussé d’un regard empreint d’un étincelant et amoureux désir. Puis, sans mot dire, il alla assouvir l’appétence grandissante de ses iris en admirant premièrement la poitrine de la séduisante, pour combler deuxièmement sa bouche masculine en tétant avec finesse, et chacune à leur tour, les minces extrémités de ces deux pommes d’amour. Il se félicita ensuite de la réussite de ces attouchements, puisque la ravissante brune témoigna de son contentement en passant une main caressante sur son dos mis à nu et dans sa blonde chevelure. Enfin, il lui fit comprendre d’un regard animé par l’avidité qu’il souhaitait lui aussi bénéficier de ses lascives faveurs.    

 

   Hermione saisit parfaitement le sous-entendu de son œillade et l’incita à se coucher sur le lit afin de s’occuper de lui. Lentement, elle défit son pantalon pour l’abaisser avec son caleçon et observa quelques secondes la turgescence de ce qui devait être, sans l’ombre d’un soupçon, la fierté personnelle du garçon. D’ordinaire et même si elle se plaisait pourtant à la satisfaire, la Rouge et Or ne trouvait pas que la virilité d’un homme puisse posséder les attributs de la beauté, mais forcée d’admettre que celle-ci était on ne peut plus charmante. D’une taille respectable aux lignes délectables, elle avait en plus l’avantage de ne pas être affublée d’une épineuse et affreuse broussaille à la base, dont la senteur était parfois des moins appréciables. Ainsi, cette discrète pilosité d’un blond impérial ne gâchait pas le paysage et l’observation des moins sages que la jeune fille enhardie était en train d’oser. Elle était presque en admiration devant les deux petites rondeurs bien enveloppées par une peau à la visible fermeté, qui ornaient merveilleusement la queue du serpent, quand d’autres les avaient déjà aussi pendantes que les boucles d’oreilles de sa grand-mère. Certains les avaient d’ailleurs si relâchées au même âge, qu’ils auraient pu rivaliser avec les emballages privés, flasques et détendus, des papys aussi vieux que Dumby.

 

   Enthousiasmée par la grâce de l’assemblage, elle s’empara du membre majestueux et s’humecta les lèvres avant de les poser sur l’arrondi de ce dernier. Doucement, elle insinua l’objet de sa convoitise dans le creux chaleureux de sa bouche et se plut à le lécher comme la meilleure des gourmandises. Pendant plusieurs minutes, elle s’appliqua à faire de soignées allées et venues sur l’organe tendu, en accordant harmonieusement les oscillations de sa tête et de sa main, sans omettre de gratifier les deux petits et ronds joyaux de quelques caresses. Puis, encouragée par le souffle plus saccadé de son partenaire, conjugué à la tendre manière dont il lui effleura la nuque, elle alterna ses mouvements en suçotant doucement la pointe de sa masculinité, pour ensuite passer une langue audacieuse et humide sur toute sa longueur. Mais alors qu’elle le percevait se durcir davantage, Drago lui fit soudainement signe de stopper ses élans. Surprise, elle se redressa et l’interrogea du regard.

 

« Je vais…éjaculer… » dit-il avec peine, la voix enrouée par le plaisir et les joues finement rosies.

 

   Il la vit à cet instant esquisser un timide sourire de satisfaction, heureuse que ses petites attentions buccales lui aient fait à ce point de l’effet. La réaction de la Gryffondor, ainsi que la sienne, le motivèrent plus encore à passer à l’acte. Ses reins étaient en feu et il se savait incapable de lutter contre le besoin immodéré de la posséder sur-le-champ. Avec adresse et célérité, le blondinet enleva donc les dernières barrières vestimentaires qui faisaient obstacle à leur complète nudité et se pressa allègrement contre le corps chaud de sa compagne. Il lui écarta les cuisses avec sensibilité pour s’y engager et partagea avec elle un baiser enfiévré tandis que, d’une main, il guidait sa virilité jusqu’à la voluptueuse lisière de son exiguïté. Se sachant bien placé, il se disposa ensuite un peu mieux en prenant appui sur ses bras et plongea ses prunelles enflammées dans celles de la demoiselle avant de s’immiscer enfin dans la chaleur de son intimité.

 

   Malefoy entreprit de la pénétrer d’un premier coup de reins délicat et ne put réprimer un soupir de bien-être, lorsqu’il perçut les parois de sa petitesse féminine s’éclorent à son passage et sa tiède cyprine l’entourer. Quand d’un second mouvement de hanches il s’enfonça entièrement dans ce paradis charnel, il ferma les yeux et lâcha un bref gémissement sous l’extase de cette union. Il se blottit alors dans les bras de la jeune fille, appréciant le velouté de sa poitrine sur la peau de son torse, et réfugia son visage dans le creux de son cou. Puis il renouvela ses va-et-vient d’une infinie douceur et de façon régulière, tout en prenant soin de s’insinuer en profondeur. Dès lors, il la sentit mettre ses paumes sur son fessier pour intensifier son action et ce fut avec plaisir qu’il exauça sa requête silencieuse, excité comme jamais par la respiration de son amante qui se faisait plus prononcée à chacune de ses immixtions.   

 

   Cependant, il réalisa que la Rouge et Or en souhaitait davantage, quand elle entoura sa taille de ses jambes et releva tant qu’elle le put son propre bassin afin de parfaire leur fusion. Elle le voulait plus présent, désirait que sa masculinité vienne rencontrer les régions les plus éloignées de son intérieur et que ses poussées se fassent plus vigoureuses, encore et encore. La discontinuité de son souffle et les intimes resserrements qu’elle effectuait presque inconsciemment autour de l’organe du garçon, témoignaient amplement et à eux seuls de son actuel ressenti. Mais la moiteur de leur corps, la chaleur du sanctuaire de l’adolescente dont les cloisons ne cessaient de se rétrécir, ajoutés au bruit érotique émis par les fougueuses oscillations qu’il accomplissait en se mêlant sans se lasser à son humidité, menaçaient réellement de le faire venir en peu de temps. Et s’il y avait une chose à laquelle il aspirait plus que tout, c’était bien de la combler dans tous les sens du terme avant d’atteindre lui-même l’orgasme.

 

   Question de fierté malefoynienne.

 

   Eprouvant la jouissance imminente, Drago s’arrêta à regret, quelque peu essoufflé, et caressa amoureusement les joues roses de sa conquête avant de l’embrasser passionnément. Là, il se rappela que lorsqu’elle l’avait surpris un peu plus tôt dans ses appartements en coquine compagnie, ses iris avaient trahi un grand intérêt pour la position dite de “La Levrette”, qu’il s’était plu à exécuter avec la petite Poufsouffle. Il adorait également cette posture pour la vue plongeante et non négligeable qu’elle offrait, de même que la possibilité de s’introduire au sein d’une jeune femme dans l’intégralité la plus délicieuse. Convaincu par cette idée, il l’amena à se retourner sur le ventre et s’agenouilla entre ses cuisses, pour ensuite saisir avec précaution son joli bassin et le remonter à hauteur du sien. De par cet accord muet qu’elle exprimait en se laissant ainsi faire entre ses mains, il se réjouit un peu plus d’avoir su discerner ses envies et décida de la contenter avec toute son ardeur.

 

   Empoignant tout d’abord avec fermeté les hanches de la Gryffondor, le Vert et Argent se glissa d’un vif coup de reins au plus profond de son temple luxurieux, arrachant de ce fait à sa belle un extatique gémissement. Il perçut juste après son Eden orgastique s’étrécir immédiatement, tel un tacite compliment en réponse à son initiative et une décelable invitation à poursuivre son exquise lancée. Loin de se faire languir, il entama ses mouvements lascifs avec dynamisme, les yeux rivés sur l’essence de leur symbiose sexuelle tandis que leur peau claquait l’une contre l’autre dans un son des plus sensuels. Sentant soudainement la félicité se diffuser en partance de son bas-ventre pour l’envahir pleinement, le jeune homme accentua plus encore la cadence et effleura avec une grande délicatesse la petite perle des plaisirs de la charmante brune, déjà constellée par l’abondance de son fluide corporel féminin.

 

   De son côté, Hermione enfouit la tête dans le creux de ses bras, alors qu’il continuait ce rythme de plus en plus effréné au fur et à mesure qu’il la devinait aux portes de l’Extase. Elle n’était jamais arrivée aussi proche du Royaume Voluptueux lors de ses précédents ébats et se délectait de ses merveilleuses impulsions qu’il orchestrait en elle avec virtuosité, pendant que leurs soupirs de délice s’accordaient mutuellement dans une enivrante mélodie. Il poussait, entrait, sortait, revenait en elle à chaque fois de plus en plus fort, de plus en plus vite, sachant toutefois doser dans l’excellence ses assauts afin de ne pas être trop irrespectueux ou véhément. Et après quelques minutes de cette danse érotique, elle perçut une brusque chaleur émerger de ses reins pour irradier l’ensemble de son être, la faisant brutalement gémir malgré elle et serrer dans ses petits poings le drap sur lequel elle reposait.

 

   Quand il distingua les premiers signes du ravissement de la Rouge et Or, qu’ils soient auditifs ou sensitifs – étant donné sa flagrante et subite contraction interne –, Malefoy amplifia instinctivement ses pénétrations et dut solidement se concentrer pour ne pas céder à l’irrésistible tentation de la rejoindre séance tenante. Etrangement avec celle-ci, il n’avait pas envie d’en finir dans cette position animale, mais agréablement niché contre sa poitrine, dans la ferveur et l’humanité d’une étreinte. L’écouter jouir porta à son paroxysme l’effervescence qui régnait en maîtresse incontestée dans son ventre et ce fut avec beaucoup de difficulté qu’il réussit à se contrôler, jusqu’à décélérer ses oscillations pour l’escorter charnellement dans sa lente descente orgasmique.

 

   Une fois la nébuleuse émotionnelle dissipée en elle, il embrassa ses épaules dénudées et l’incita doucement à se recoucher sur le dos. Il savait par expérience que certaines femmes après l’extase ressentaient encore du plaisir, si le partenaire réalisait avec dextérité quelques derniers vigoureux coups de reins, comme pour atteindre les plus impénétrables contrées de leur exiguïté et stimuler au passage un hypothétique “point G”.

 

   Point sur lequel Drago aurait vivement aimé s’entretenir avec son trouveur – ou inventeur –, un certain Moldu nommé Ernest Von Gräfenberg – rien que ça –, dont il aurait apprécié recevoir quelques éclaircissements et, peut-être même, remettre en cause sa théorie – ou création. Car finalement, et pour se citer lui-même : « Le clito reste une valeur sûre face à ce truc qui au toucher ressemble à un petit haricot… pas forcément magique à tous les coups ! ». Mais il ne fallait pas douter des dires d’un tel génie Moldu, qui devait sans conteste être doté d’un sublime doigté et aurait dû manifestement donner un bon million de cours particuliers, afin de léguer ses précieuses connaissances et agir ainsi pour le bien de l’humanité !

 

   En attendant, notre Serpentard se débrouillait avec les moyens du bord et ce fut tremblant d’une impatiente excitation, qu’il étreignit tendrement sa mignonne et se glissa de nouveau en elle. Avec énergie, il entama quelques puissants mouvements au sein de son humidité et fut aux anges d’entendre son amante pousser quelques succincts gémissements, à chaque fois que son bassin s’unissait totalement au sien. Elle faisait bien partie de ces dames qui éprouvaient une exquise sensation après la félicité déjà obtenue, quand on venait caresser avec ardeur leur étroitesse en profondeur. Il prolongea donc plus avant ses immixtions en haletant presque avec allégresse, le regard gourmand et fixé sur le visage radieux de sa déesse. Puis il perçut cette particulière pression au bas-ventre et sentit la jouissance monter en lui violemment, ne pouvant s’empêcher en cet instant de fermer les yeux et de gémir de façon retentissante, tandis qu’il délivrait en elle le fruit de son exceptionnel orgasme.

 

   Eperdu et pantelant par cette expérience sexuelle, il revint enfin à la réalité et déposa sur ses lèvres quelques baisers passionnés, pour ensuite s’allonger auprès de cette nymphe en l’enlaçant amoureusement et sombrer avec elle dans les bras de Morphée.     

 

 

 

 

A suivre…



Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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