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Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 15:08

Contribution de Lylah

 

happy hours

 

En ce samedi après-midi du mois de juin, les jeunes étudiants de Poudlard se prélassaient dans l’herbe fraîche, sous les rayons chauds du soleil.

En ces beaux jours, il n’était pas rare de les voir flemmarder au dehors plutôt que de s’affairer à étudier consciencieusement.

Une jolie rousse aux yeux émeraude, approchait à pas de loup d’un groupe de garçon, qui chahutaient sous un vieux chêne.

Elle sauta au cou d’un beau brun qui en perdit ses lunettes.

- Aïe ! fit-elle, en s’écartant précipitamment de lui.

James Potter se retourna rapidement et, les mains sur les hanches, afficha son plus beau sourire.

- Combien de fois va-t-il falloir que le sort de répulsion opère sur toi Lily pour que tu comprennes que nous n’avons pas droit au contact physique à Poudlard ?

En effet, depuis 3 ans déjà, une nouvelle loi avait été votée par le ministère, jugeant les élèves un peu trop dispersés dans de frivoles occupations, les repoussant par une décharge électrique dès qu’ils entretenaient un contact charnel entre eux.

Loi bien stupide et bien terrible pour nos jeunes étudiants aux hormones en pleine effervescence.

Malheureusement, loi bien réelle et surtout, incontournable. Les plus doués d’entre eux avaient cherché un quelconque moyen de la contourner ou du moins de la leurrer quelques heures, mais rien. Nada. Pas de bisous, pas de câlin.

- Pffff….oh ça va James. J’ai pas encore l’habitude…râla-t-elle en faisant la moue.

James se mit à rire et s’approcha d’elle, le plus près qu’il le put, en mimant un baiser qu’il lui donnerait s’il pouvait avoir le plaisir d’atteindre ses lèvres.

Elle se pencha un peu plus en avant, et répondit au geste. Dépitée, elle croisa les bras.

- Pauvre petite Evans, condamnée à rester vierge jusqu’au mariage ! Cingla la voix de Sirius derrière elle.

Elle se retourna en un éclair, lui assainissant une gifle magistrale, sous le regard de ses amis hilares.

- Bien sur, ce genre de contact restent autorisé…Marmonna-t-il entre ses dents en se frottant douloureusement la joue.

Elle se tourna boudeuse vers James, réclamant vengeance du regard, comme nous, les filles, nous savons si bien le faire.

- T’es lourd Patmol ! Je te rappelle que t’as pas pu toucher grand monde ces dernières années, s’empressa de lancer James à l’adresse de son meilleur ami.

Sirius se laissa glisser le long de l’arbre en maugréant dans sa barbe.

Depuis cette fichu loi, les élèves se montraient moins enjoués mais d’autant plus assidu dans leur travail, forcé d’occuper leur cerveau pour ne pas avoir sans arrêt de lubriques pensées en regardant leurs homologues féminins ou masculins se balader sous leurs yeux.

Les professeurs ne s’en portaient que mieux, même si certains d’entre eux trouvaient tout de même le ministère un peu dur.

Toujours est-il qu’en ce samedi après midi, ce samedi après midi du mois de juin, les astres en avaient décidé autrement.

 

Dans l’immense bibliothèque de l’école, un jeune homme au visage pâle étudiait un livre d’astronomie avec attention.

Il releva les yeux un instant, certain d’avoir entre ses mains, une révélation.

Il se replongea avidement dans le bouquin, voulant être sur de sa trouvaille avant de l’annoncer avec joie à qui veut l’entendre.

« ….cette année, le dimanche 15 juin, les planètes s’aligneront dans une droite parfaite, provoquant de grands bouleversements dans l’ordre des choses. Une éclipse totale aura lieu, plongeant une partie totale du monde dans le noir le plus complet durant 3 heures. Les marées seront perturbées, les éléments déchaînés. Mais, au-delà de tout, toutes magies prendra fin durant ses 3 heures. Aucun sortilège ne pourra être lancé, aucune formule prononcée. Et cela durant 3 heures… »

Il glissa le livre sous son pull et couru au dehors, heurtant au passage un professeur qui ne manqua pas de lui coller une retenue voyant qu’il ne s’excusait pas. Mais peu lui importait les revendications de celui-ci, il tenait à sa disposition une information des plus importantes qu’il se devait de partager au plus vite.

- Cornedrue !!! S’écria-t-il à l’adresse du jeune Potter, qui tentait de s’extraire de la prise de catch que lui infligeait Sirius.

D’un coup d’épaule, il se dégagea rapidement et s’approcha de son ami.

- Et ben Lunard, qu’est-ce qu’il t’arrive ? On dirait que tu viens de voir la pleine lune ! Lança-t-il en riant.

- Très drôle, mais je suis sur que tu me remercieras quand je t’aurai donné l’information que je détiens.

Il le tira par le bras, afin de l’entraîner à l’écart des oreilles indiscrètes.

Sirius leur jeta un rapide coup d’œil, curieux de savoir ce qu’il se tramait, mais resta bien tranquillement à sa place, convaincu qu’on le mettrait dans la confidence le moment venu.

- J’ai une nouvelle qui devrait te ravir Potter. Sais-tu quel jour on est demain ?

James leva les yeux au ciel pour réfléchir un instant.

- Ben dimanche, le 15 juin je crois.

Remus afficha un sourire satisfait.

- Alors je dois t’avouer quelque chose, mais il faut que ça reste entre les maraudeurs, si ça s’ébruite, ça risque de finir en orgie.

La curiosité de James piquée à vif, il croisa les bras sur sa poitrine, attentif.

 

Le soleil se couchait à présent, colorant d’un orange vif le ciel sans nuage.

Une douce fraîcheur s’installa, poussant les derniers élèves à se revêtir de vestes légères et de réintégrer l’établissement.

- Et bien James, tu es bien rêveur depuis que Remus est venu te voir tout à l’heure, qu’est ce qu’il t’a dit ? Demanda Lily en s’approchant du Gryffondor.

Il lui sourit en lui faisant un clin d’œil.

- Crois moi, tu le sauras bien assez tôt.

Lily resta un instant interdite, puis continua d’avancer à ses côtés.

Ils croisèrent Sirius, qui le regard pétillant, lorgnait sur un groupe de jeune Serdaigle qui passait à proximité de lui.

- Tu te fais du mal Black ! Lui lança Lily fière de sa répartie.

Il lui jeta un regard amusé et bomba le torse.

- Ne parles pas trop vite ma belle, ne parle pas trop vite !

James se retourna rapidement en faisant un geste significatif à son ami, lui indiquant clairement de ne pas continuer son petit jeu.

Celui-ci, un peu plus tard dans l’après-midi, s’était empressé d’aller quémander auprès de son ami, des informations sur ce qui le rendait subitement de si bonne humeur.

Devant l’insistance de Sirius, James lui avait expliqué en précisant bien que seuls les maraudeurs étaient pour l’instant au courant, et qu’il fallait que cela reste ainsi.

A présent, le jeune chien cherchait un os appétissant dont il pourrait se délecter avec appétit dès le lendemain.

Ce n’était pas les occasions qui manquaient, mais il ne fallait pas prendre n’importe laquelle de ces demoiselles. Il lui fallait la meilleure. La plus belle. La plus désirable. La plus inaccessible.

Laissant leur ami les dépasser, James et Lily grimpèrent jusqu’à la salle commune des Gryffondor.

Ils prirent place sur le gros fauteuil rouge et le jeune Potter passa un bras câlin sur le dossier à quelques centimètres de la nuque gracile de sa belle.

Il ne pouvait pas la toucher, mais il ne pouvait détacher ses yeux de ses belles boucles rousses retombant avec grâce sur ses fines épaules.

Il se pencha légèrement en avant, et souffla doucement sur quelques mèches afin de pouvoir découvrir un petit bout de la peau laiteuse de la belle.

Celle-ci frissonna et lui jeta un regard implorant.

- Arrêtes James….

Pour toute réponse, il lui sourit avec tendresse.

Il dessina les courbes que formaient ses épaules, descendit légèrement le long de son bras et à quelques centimètres de sa main, il s’arrêta.

Elle releva les yeux après avoir suivi son geste avec attention, et plongea son regard dans le sien.

Elle ne l’avait jamais autant désiré qu’à l’instant même et tout son corps le réclamait.

James soupira bruyamment et quand il vit les yeux de sa douce s’embuer de larmes, il stoppa immédiatement son geste.

- Pourquoi tu fais ça James….Je trouve ça…

Mais elle ne termina pas sa phrase et couru jusqu’au dortoir, laissant son petit ami seul sur le canapé.

Il passa une main nerveuse dans ses cheveux, et sourit en murmurant :

- Tu vas trouver ça extra.

 

Quand les premiers rayons de soleil traversèrent les carreaux du dortoir, Sirius bondit hors de son lit.

- Cornedrue, lèves toi ! Vite vite vite vite vite !

James s’enroula plus confortablement dans sa couette.

- Arrête Patmol, il n’est que 7h, on a encore 8h devant nous.

Visiblement, le pauvre animal avait complètement perdu la notion du temps, beaucoup trop excité en imaginant la formidable partie de jambe en l’air qu’il prévoyait avec une jolie blonde aux yeux ténébreux qu’il avait su attirer dans ses filets.

Soudain, James eu un sérieux doute et s’assit en un éclair dans le lit.

Et si ça ne marchait pas ? Si cette prédiction que l’on avait d’ailleurs trouvé que dans un seul et unique livre s’avérait inexacte ?

Après tout, personne n’en parlait. Ni la gazette, ni le ministère.

Tout de même, Poudlard durant 3 heures se trouvera sans plus aucune protection magique et personne ne s’en inquiète ?

Ou alors, peut-être font-ils exprès d’étouffer l’affaire pour ne pas créer un mouvement de panique ?

Toujours est-il, qu’aujourd’hui, à 15h, il essaierait de s’approcher de son plus tendre amour, de la prendre dans ses bras, et s’il n’était pas sur le champs parcouru d’une violente décharge électrique, alors il serait l’homme le plus heureux de la terre.

Il s’étira longuement, et après s’être préparé, descendit entamer les quelques heures, qui seraient sans aucun doute, les plus longues de toute sa vie.

 

Zut ! Lily semblait l’éviter ! Mais où pouvait-elle être ? Ce matin dans la grande salle, elle n’était pas venue prendre son petit déjeuner et maintenant, à 14h50, impossible de lui mettre la main dessus.

Un brouhaha assourdissant se fit alors entendre à l’extérieur.

James et Sirius se précipitèrent hors du bâtiment, en compagnie de la jolie blonde pendue au côté de Sirius, qu’il n’était pas question qu’il lâche jusqu’à l’heure fatidique.

Toute l’école s’était rassemblée au dehors, fixant le ciel où l’éclipse de soleil s’apprêtait à avoir lieu.

James plissa les yeux afin de se protéger des derniers rayons de l’astre et c’est là, qu’il aperçu, au fond du jardin, sur un muret à l’écart, Lily.

Sa longue chevelure rousse virevoltait au rythme des douces rafales de vent et elle fixait, elle aussi, intensément le ciel.

Après avoir jeté un rapide coup d’œil vers son meilleur ami qui lui fit un signe approbatif de la tête, il se faufila à travers les élèves jusqu’à arriver devant elle.

Elle ne lui sourit pas et se contenta de baisser timidement la tête.

Il enjamba le muret et se positionna derrière elle, se remettant à fixer le ciel en prenant garde de ne pas la toucher.

Plus que quelques secondes….

L’obscurité commençait à envelopper les lieux et bientôt, dans un « ooooooooh » admiratif, les élèves sombrèrent dans l’obscurité.

Le silence se fit, la pelouse se vidant petit à petit.

C’est alors que James avança une main timide vers l’épaule de sa belle. Il tremblait, c’était incontrôlable et quand il put enfin sentir la douceur du tissu de sa veste sur ses doigts, il poussa un soupir de soulagement.

Lily sursauta mais n’osa pas se retourner, attendant avec impatience de voir si elle n’était pas en train de rêver.

James laissa alors courir ses doigts le long de ses bras et violement, l’enserra à la taille en enfouissant sa tête dans le creux de sa nuque.

- Ja…James ? Mais comment ?

- Chuut…lui murmura-t-il en commençant quelques baisers papillons sur sa peau.

Quelle sensation extraordinaire !!

Jamais peau ne lui parut plus douce et plus parfumée.

Lily enjamba alors le muret et enserra de ses jambes graciles, la taille virile du garçon.

Ils plongèrent leurs yeux l’un d’en l’autre et les joues de la jouvencelle se mirent légèrement à rosir.

- Je t’expliquerai plus tard mon amour, nous n’avons que 3h. Je veux qu’elles ne soient qu’entièrement consacrée à la découverte de ton corps si parfait.

Il n’en fallut pas plus à la jeune fille pour fondre littéralement sur les lèvres de son ami afin de lui procurer un baiser passionné et fougueux.

Ils gémirent sous ce contact si agréable et elle passa amoureusement ses bras autour de son cou.

Il resserra ses bras à nouveau sur sa taille afin de l’attirer plus fermement à lui.

 

happyhours

 

Bientôt leur baiser ce fit plus profond, mêlant dans une ferveur endiablée, leurs langues avides de baisers.

Il fit alors doucement glisser ses mains le long des courbes des hanches de la jolie rousse et après les avoir subtilement positionnées sous ses fesses, il la souleva afin de pouvoir la reposer sur le sol.

A l’abri des regards indiscrets, derrière ce muret cachant leur intimité, ils pourraient enfin s’aimer.

Après l’avoir délicatement déposé sur l’herbe, tel une poupée de porcelaine, il se releva légèrement afin de pouvoir la contempler.

Sous ce regard emplit de convoitise qui courrait sur son corps, la belle ne savait comment réagir.

Elle sentait un feu la consumer de l’intérieur, la poussant à vouloir se saisir de ce « mâle » si tentant devant elle, mais une autre partie d’elle-même voulait qu’il se montre doux et patient tout le long de leur étreinte.

James se dégagea doucement de sa veste et déboutonna avec une lenteur criminelle, sa chemise de coton, découvrant un corps finement sculpté qui fit échapper un soupir exalté à son admiratrice.

Il se pencha vers elle afin de la gratifier d’un doux baiser, en glissant une main féline sur les premiers boutons qui emprisonnaient les deux charmantes collines de sa dulcinée.

Quand il défit le premier, il passa une de ses jambes entre celle de son amie, quand il atteint le second, il glissa la seconde, puis, avec une fougue incontrôlée, il s’empressa d’arracher les derniers sous les gémissements amusés de la rouquine.

Il se releva légèrement afin de pouvoir les admirer et se passa la langue sur les lèvres avec envie.

- Je crois que je n’ai jamais vu quelque chose qui me fasse autant envie….Murmura-t-il.

Lily se mit à rougir.

- Alors qu’est-ce que tu attends pour en profiter ? Le défia-t-elle.

Il ne se fit pas prier et se saisit d’une de ses pommes d’amour. Il en apprécia la douceur et la fermeté en fermant les yeux et l’embrassa tendrement en jouant avec la langue sur l’extrémité, provoquant une décharge électrique chez la belle, qui, celle-ci n’eut pas pour effet de les séparer, mais au contraire de les rapprocher.

Elle insinua ses doigts fins dans sa chevelure, le pressant de se montrer plus ardent, ce qu’il fit avec grand plaisir.

Sa main valide s’aventura alors plus au sud de l’anatomie de la jolie jeune fille, s’attardant un instant sur son nombril pour continuer sa route vers des contrées plus exotiques.

Quand il eut atteint la dernière paroi faisant abstraction à l’antre de tous ses plaisirs, il joua avec l’extrémité de ses doigts sur l’élastique de sa petite culotte.

Elle imprima de légers mouvements du bassin, marquant son impatience.

Cela faisait maintenant si longtemps qu’elle rêvait de ce moment qu’elle n’arrivait plus à cacher sa hâte.

James, lui, semblait plus calme, plus serein. Et pourtant, ce n’était qu’une façade. A l’intérieur, son cœur martelait sa poitrine plus vite et plus fort que jamais, sa respiration rapide trahissait son appréhension et l’étau qui emprisonnait sa virilité commençait à se faire vraiment étroit sous les mouvements de bassin de Lily.

Il respira un grand coup et entreprit de faire glisser le petit morceau de tissu, délicatement le long des hanches de sa maîtresse.

Elle l’aida en relevant légèrement son corps et quand elle en fut libérée, elle poussa un soupir de soulagement.

Voilà qu’enfin il se trouvait aux portes de sa félicité, il baissa la tête sur le ventre frémissant de la rouge et or et s’appliqua à dessiner quelques arabesques avec sa langue.

Lily arqua son corps sous la caresse électrisante, et rejeta sa tête en arrière.

Satisfait de la voir réponde de manière si significative à cette simple caresse, il entreprit d’approfondir sa douce torture.

Il descendit plus bas, en caressant de ses mains expertes chaque parcelle de sa peau et quand enfin il s’approcha de la divine contrée, il pu constater que sa belle avait alors arrêté de respirer.

Il sourit, et ne voulant pas la laisser dans cet état, s’empressa de lui prodiguer un timide coup de langue.

Elle poussa un gémissement excité, ce qui eu pour but d’enhardir notre jeune homme, qui saisit avec fougue sa taille fine pour l’attirer plus profondément contre sa bouche.

Il continua un jeu lascif avec sa langue, se contentant pour le moment, de prodiguer de petites lapées sur le seuil de cette accueillante province.

Quand il la sentit prête à sombrer dans les méandres du plaisir, il insinua une langue mutine dans l’exiguïté de la douce, se risquant même à en mordre délicatement la petite protubérance, qui ne manqua pas de faire pousser un gémissement émerveillé à la principale intéressée.

- James…on…dirait que tu as fais ça toute ta vie…Réussit-elle à dire entre deux halètements.

Il releva le nez un instant de sa délectation pour lui avouer.

- C’est que j’ai sous la main un met des plus délectables…

Et il se remit immédiatement à la besogne, estimant qu’il ne s’était pas encore entièrement repaît de ce délicieux breuvage.

Lily glissa ses doigts dans les cheveux de jais de son amant, poussant des soupirs de contentement à chaque coup de langue exercée de son bourreau.

La chaleur qui montait dans son corps devenait insoutenable. Il lui fallait sans plus attendre réclamer un moyen d’éteindre ce feu qui la consumait, d’une quelconque manière que ce soit.

Ressentant les prémices de la jouissance et ne souhaitant pas interrompre si promptement cette exquise galipette, elle saisit la tête de son ami, à contre cœur, afin de le faire remonter vers elle.

Quelques peu essoufflé par ses prouesses buccales, il lui sourit malicieusement en lui embrassant avec délice le nombril.

Elle s’assit dans l’herbe et s’approchant finement de son petit ami, elle posa câlinement ses mains sur son torse afin de le faire s’allonger pour lui prodiguer à son tour une petite gâterie.

Il fit en sorte de s’appuyer contre le muret afin de garder une position assise, et Lily prit place devant lui.

Elle l’embrassa amoureusement et glissa ses lèvres près de son oreille.

- Je t’aime James.

Celui-ci sentit son cœur battre toujours plus fort dans sa poitrine et l’embrassa passionnément avant de lui murmurer à son tour.

- Moi aussi je t’aime Lily Evans.

Satisfaite, elle se laissa descendre le long de son torse, en ne manquant pas de le caresser des mains, en lui procurant de petits baisers coquins, s’arrêtant sur ses tétons pour les mordiller un instant.

James serra immédiatement les dents sous cette sensation mêlant une douce douleur et en même temps lui provoquant une extrême excitation, qu’il se surprit à apprécier.

Elle amorça à nouveau sa descente jusqu'à l’entrejambe du garçon.

Sa fierté, pauvre petite, était toujours étroitement enfermée dans sa prison de tissu. Elle leva un regard amusé vers son amant, dans le regard duquel elle pu lire une supplication de libérer expressément celle-ci, sous peine de la voir suffoquer.

Elle fit glisser la fermeture éclair, et passant avec envie sa langue sur ses lèvres, elle libéra enfin sa friandise.

De quelques mouvements souples du poignet, elle lui permit de se détendre un peu et enfin, avec une douceur qui lui était propre, elle donna un léger coup de langue.

James poussa un râle de plaisir en s’installant plus confortable, passant ses bras en croix sur le muret et rejetant sa tête en arrière.

Elle continua quelques coups de langue de la base au sommet de sa nouvelle sucette, qu’elle s’empressa ensuite à suçoter avec sensualité sur son extrémité.

La respiration de James s’accéléra alors brutalement sous l’effet de la dextérité plus que certaine de la belle.

Mais où avait-elle apprit tout ça ?

- Ah…Lily…Tu es merveilleuse….

Sous ce compliment, elle inséra l’objet de ses désirs entre ses fines lèvres entrouvertes et s’appliqua à effectuer de lents vas et vient tout le long de la fierté du garçon.

Le souffle saccadé, le propriétaire de cette gracieuse gourmandise, ne pu s’empêcher d’appuyer une main envieuse sur la nuque de sa tentatrice afin de lui imprimer un mouvement plus rapide.

Il n’eut pas à lui expliquer plus longtemps comment le porter au seuil du paradis, la belle avait rapidement saisit le mode d’emploi.

Elle accéléra ses allées et venues par des hochements de tête réguliers, suçotant par moment et pourvoyant par d’autre de grands coups de langue sur toute la longueur.

- Lily…ah…je….

Elle releva la tête, à la fois déçue de devoir déjà s’arrêter de faire mumuse avec Potter junior mais à la fois ravie d’avoir procuré autant de plaisir à son partenaire.

Elle afficha un sourire satisfait en haussant un sourcil provocateur.

Il haussa à son tour les sourcils, étonné devant l’air de défi que lui lançait la rouge et or. Sa fierté de mâle ainsi piqué à vif, il se saisit d’elle par la taille et la fit asseoir sur ses jambes.

Elle passa ses bras autour de sa nuque pour prendre un appui et avança dangereusement son bassin de celui du jeune homme.

Elle l’embrassa avec avidité et sans plus tarder, il souleva les hanches de la jolie rouquine d’un mouvement leste pour l’empaler lentement sur son pieu de chair.

Elle relâcha ses lèvres un instant pour laisser échapper un gémissement de plaisir et lança sa tête en arrière quand il commença ses mouvements de bassin.

Elle l’aida en montant et descendant légèrement au dessus de lui, plantant ses ongles dans les épaules robustes du garçon.

Celui-ci saisissait avec force les deux rondeurs de son extraordinaire fessier et s’amusait à les pétrir au rythme des assauts de son bassin.

Lily ne retenait plus ses cris de plaisir à présent, ce qui enhardissait que plus son amant.

- James…James…encore…Ne cessait-elle de répéter entre deux soupirs.

Afin de répondre au mieux aux attentes de la lionne, qu’il sentait vouloir plus audacieuses et plus viriles, il la souleva afin de pouvoir la faire se retourner.

Elle prit immédiatement appui sur le muret, fixant face à elle, la grande bâtisse plongée dans la pénombre.

La perspective que quelqu'un puisse la voir dans cette position plus qu’inconvenante redoubla son excitation et quand James la pénétra d’un premier coup de rein violent, elle ne put s’empêcher de crier en enfonçant son visage dans le creux de son bras.

Il renouvela ses vas et vient avec douceur pour pouvoir par moment donner quelques coups plus secs et plus vifs, que semblait nettement plus apprécier sa belle.

Il posa délicatement ses paumes sur le bas des reins de Lily et effectua, dans un rythme effréné, quelques nouveaux coups de rein plus dynamiques.

- Lily….ma Lily…tu es si….marmonnait-il en haletant.

Elle effectuait divers mouvements avec son bassin, tantôt lents, tantôt rapide, en prenant soin de suivre la cadence que lui imposait le beau brun.

Bientôt, James sentit monter en lui le désir imminent de se laisser aller à sombrer dans les abysses du plaisir, il donna quelques derniers coups de reins vigoureux, faisant hoqueter de surprise la jeune fille, avant de s’épancher sur son dos ruisselant et de lui susurrer :

- Mon amour, je veux pouvoir te voir…

Elle sembla acquiescer et il se retira un instant, afin de pouvoir l’allonger à nouveau sur l’herbe et s’insinua à nouveau en elle dans un mouvement rapide, en lui prodiguant un baiser amoureux.

Elle enserra de ses jambes la taille de garçon et il put à nouveau continuer ses immixtions dans le chaleureux fruitier de son aimée.

Il pouvait sentir se resserrer ses fines parois, présageant une jouissance imminente. Retenant la sienne depuis déjà quelques temps, il soupira de contentement se sachant proche de la félicité.

Les mains caressant le visage rosie de sa belle, il imprima un dernier mouvement de bassin et ne pouvant s’empêcher de fermer les yeux en poussant un gémissement orgasmique, qu’elle accompagna immédiatement, ils atteignirent ensemble le paroxysme de leur plaisir.

 

Tentant de reprendre une respiration dont ils avaient plus ou moins perdu le contrôle, ils se lovèrent l’un contre l’autre en s’embrassant passionnément.

- James…Si c’était les dernières heures de ma vie, je ne pourrai qu’en être contenté.

Il la serra plus fort contre lui.

- Tu es décidément celle que j’ai toujours cherché ma Lily….

Il leur restait encore du temps pour s’aimer, le soleil n’était pas encore prêt à refaire son entrée.

 

Quand le soleil pointa à nouveau le bout de son nez, les élèves s’étaient à nouveau rassemblés sur l’herbe, en jetant des regards vers le ciel.

Une jeune fille blonde se faufila parmi ses amis, rajustant avec maladresse ses quelques vêtements en bataille, sous le regard amusé d’un jeune chien mal élevé.

Plus loin, sur un muret, bien cachés à l’abri des regards indiscrets, un jeune couple, assis juste à quelques centimètres l’un de l’autre, reprit la position exacte qu’ils avaient quelques heures auparavant.

Le jeune homme souffla avec tendresse sur la chevelure soyeuse de la jeune fille, laissant s’envoler une brindille d’herbe, qui, quelques centimètres plus loin, s’évanouie sur le sol.

Il croisa les bras derrière son dos, levant les yeux au ciel.

Elle croisa les bras sur ses genoux, baissant les yeux à terre.

Pendant un instant, ils avaient pu être amants.

Ce qu’ils ne savaient pas, ce que bientôt ils seraient parents….

 

Morale : La vie et l'amour sont la même chose. Quand il n'y a pas d'amour, il n'y a pas de vie.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec d'autres personnages
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