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Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 15:40

Une invention de rêve

 

Une aventure sexuelle de Harry Potter en sixième année.

 

Avec : Hermione Granger

 

 

 

 

La rentrée approchant, le chemin de traverse était inhabituellement fréquenté en ces périodes troubles. Cela signifie que peu de monde osait arpenter la célèbre rue magique mais que le nombre de passants était malgré tout plus important que tous les jours qui ont suivi l'annonce officielle du retour de Voldemort. Une seule boutique attirait une vraie foule, « les farces pour sorciers facétieux » de Weasley frères.

A l'intérieur, on se bousculait pour voir les nouveautés inventées par les jumeaux et cela embêtait beaucoup Hermione. Elle était venue avec Harry, Ron et Ginny pour acheter leurs fournitures scolaires et ils en avaient profiter pour faire un tour au magasin de Fred et Georges. Malencontreusement, la veille, Hermione avait sans méfiance prit un télescope dans une boîte des deux frères et celui-ci lui avait donné un coup de poing. Elle arborait malgré elle un superbe oeil au beurre noire que tous les sorts de Molly Weasley n'avaient pas réussi à enlever. Fred lui avait donné une fiole contenant une épaisse pâte jaune qu'elle devait badigeonner mais elle était constamment bousculée et craignait de se mettre un doigt dans l'oeil en essayant d'étaler la crème.

Elle se faufila alors derrière le comptoir pour rejoindre l'arrière boutique. Fred la vit de loin mais il suffit à la jeune fille de lui montrer la fiole pour qu'il comprenne qu'elle cherchait plus de tranquillité.

Enfin au calme, Hermione déboucha la fiole et se dépêcha de s'en administrer une bonne dose sur le contour de l'oeil. Puis elle fourra la crème dans sa poche, avec toutes les vieilleries des jumeaux qui trainaient au terrier, cela pourrait s'avérer utile. Son regard se posa sur l'attirail des farces et attrapes entreposées. Elle n'avait pas toujours apprécié le travail de Fred et Georges mais elle reconnaissait volontairement maintenant que la plupart de leurs inventions étaient de la magie remarquable. Elle l'avait même dit à haute voix à Harry tout à l'heure et, pour la remercier du compliment, Fred lui avait dit de prendre une boîte de « Rêve éveillé », une incantation qui devait donner à son utilisateur un rêve très réaliste pendant une demi-heure. Juste de quoi passer le temps en cours, comme l'avait fait remarquer les jumeaux. Hermione en aperçu un assortiment dans un coin sombre et prit une boîte qu'elle mit également dans sa poche. Elle n'avait pas l'intention de s'en servir en cours, elle, mais faire une petite pause rêveuse de quelques minutes était toujours bon à prendre à d'autres moments.

Elle ressortit de l'arrière boutique alors que Fred et Georges s'y dirigeaient justement en compagnie de Harry. Probablement pour le remercier de les avoir financé, pensa-t-elle. Hermione se retrouva à côté de Ginny qui observait toujours avec envie les boites de « Rêve éveillé » sur leur présentoir.

 

_ Je me demande avec quoi ils ont fait ça, fit la petite rousse. Bon, ils ont eu beaucoup de cours pour les tester, ça c'est sûr.

 

Hermione se posait aussi la question. Ne pouvant atteindre les boites sur le présentoir à cause de la foule, elle prit celle qu'elle avait en poche pour y lire les indications.

C'est alors qu'elle s'aperçut qu'elle n'avait pas prit un « rêve éveillé ». Les boîtes sur le présentoir représentaient un couple sur un navire de pirate en mer, avec une dominance de bleu clair, tandis que celle qu'elle tenait en main était d'un rose foncé, presque rouge, où se dessinait une silhouette féminine toute noire juste à côté du nom : « Eronirique ». Hermione remarqua que les boîtes de « rêve éveillé » était interdite à la vente au moins de seize ans. Celle de « Eronirique », au moins de dix huit. Elle jeta un regard anxieux autour d'elle. Il y avait trop de monde pour que quelqu'un remarque qu'elle n'avait pas un article conventionnel et Ginny lisait les détails d'une boîte de « rêve éveillé ». Hermione cacha la sienne un peu mieux et se mit à lire à son tour.

 

« Eronirique, le filtre breveté Weasley frères de leur toute nouvelle gamme « Charmes charmants » (vente réservée aux adultes, uniquement par correspondance), se base sur le principe de « rêve éveillé » (gamme « farces pour sorciers facétieux ») avec une puissance accrue de réalisme spécialement axée sur les rêves érotiques. Sensations réelles garanties. Voir notice d'utilisation et d'effets secondaires à l'intérieur avant utilisation. À n'utiliser que pendant le sommeil. »

 

Hermione observa la boîte d'un air amusé. Une gamme érotique. Ginny lui avait parlé du développement de ses frères dans les ustensiles de défense contre les forces du mal mais ils semblaient utiliser également d'autres domaines de marché. Pas étonnant que leur petite sœur ne soit pas au courant de celle-ci.

La jeune fille se demanda si elle ne ferait pas mieux d'aller remettre la boîte à sa place. Ce n'était pas très honnête vis à vis de Fred et Georges et, lorsqu'on était élève à Poudlard, on avait rarement besoin de ce genre de palliatif. D'un autre côté, elle qui avait déjà été impressionnée par les « rêves éveillés » se demandait à quel point la puissance du filtre avait été accrue. Sa curiosité l'emporta et elle fourra à nouveau la boîte dans sa poche lorsque les jumeaux sortirent avec Harry de la réserve. Fred et Georges s'approchèrent d'Hermione et Ginny pour les emmener voir leur gamme « Charmes de sorcières », constituée de petits filtres d'amour et divers autres produits ou sortilèges orienté vers la séduction. Hermione ne fut guère impressionnée en sachant qu'elle avait déjà beaucoup mieux sur elle.

Les achats terminés, ils rentrèrent tous au terrier où la soirée se passa agréablement. Au fur et à mesure que la nuit approchait, Hermione sentit grandir la nervosité. Elle se demandait vraiment ce qui allait se passer lorsqu'elle aurait avalé le filtre. Elle avait lu la notice dès qu'elle s'était retrouvée seule un moment. Il y avait beaucoup de mises en garde mais rien qui ne la concernait. Le mode d'emploi était également très détaillé. Les jumeaux recommandaient clairement et à plusieurs reprises de n'utiliser le filtre que pendant le sommeil, les réactions aux sensations provoquées seraient incontrôlables éveillé. D'ailleurs le filtre semblait aussi contenir un léger somnifère pour aider l'utilisateur à s'endormir au moment de se coucher.

L'impatience atteint son comble durant le repas. Assise, sans pouvoir bouger entre Harry et Ron, Hermione trouva le temps interminable. Enfin, Mrs Weasley les envoya se coucher et elle monta dans la chambre de Ginny en compagnie de la petite rousse. Hermione profita d'un moment d'inattention de son amie pour boire discrètement le filtre puis elle se coucha rapidement. Lorsque Ginny éteignit sa bougie, elle se sentait déjà somnoler.

Et pourtant le sommeil ne vint pas. Allongée dans le noir, elle se sentait au contraire de plus en plus réveillée. « Je dois être trop nerveuse, pensa-t-elle, essaie de te calmer ma fille ». Elle se redressa, assise dans son lit, avec l'intention de se lever et d'aller se chercher un verre d'eau. Mais soudain, elle se rendit compte qu'elle n'était plus dans son lit mais dans un fauteuil. Un petit fauteuil qui faisait parti d'une rangé d'autres fauteuils semblables. Devant elle une lueur éclairait faiblement les ténèbres. C'était un écran. Elle était dans une salle de cinéma. Elle rougit en se rendant compte qu'elle était toujours dans la nuisette qu'elle avait passée pour aller se coucher. Et elle se sentit encore plus gênée lorsqu'elle vit le film. Sur l'écran, une jeune femme entièrement nue était agenouillée, entourée de trois hommes qui arboraient fièrement leurs virilités hors de leurs pantalon et la jeune femme utilisait au mieux sa bouche et ses mains pour les satisfaire ensemble.

Hermione eut une vision fugitive d'elle-même, une jeune fille en nuisette au beau milieu de la nuit dans la salle sombre d'un cinéma porno. Si l'on cherchait la définition du mot « vulnérable » dans le dictionnaire, cette image l'aurait parfaitement illustrée. Sous le choc, elle se demanda vaguement comment elle était arrivée là mais, elle n'eut pas la possibilité d'étudier la question plus avant car une main sortit des ténèbres pour se poser sur sa cuisse nue. Un frisson lui parcouru la colonne vertébrale tandis qu'elle sentait la paume rugueuse caresser doucement sa peau de haut en bas, se rapprochant un peu plus de son intimité à chaque aller-retour. Hermione ne savait pas quoi faire. Elle ne pouvait pas bouger. Comme si elle était devenue spectatrice de ce qui arrivait, regardant un film à travers ses propres yeux. Mais un film bien plus réel que celui de l'écran. Au frisson succéda une chaleur intense dans son ventre.

Elle ne voyait pas son voisin dans la pénombre de la salle en dehors d'une silhouette noire. On aurait cru que l'écran refusait de l'éclairer. Malgré cela, elle restait immobile sous sa caresse. Son corps restait sans bouger. Elle ressentait néanmoins tout ce qui arrivait et un léger gémissement franchit ses lèvres lorsqu'il passa sous la petite culotte pour investir sèchement de deux doigts son trésor le plus précieux.

Tandis qu'il entamait un lent va et viens, Hermione vit une seconde main jaillir des ténèbres et se refermer sur son avant bras. L'homme le souleva et l'amena à lui. Elle sentit alors quelque chose de chaud glisser sur sa paume. Ses doigts se refermèrent, instinctivement ou mécaniquement, autour du membre viril. A sa propre surprise, elle se mit à le masturber au même rythme que les doigts qui exploraient son doux coquillage.

De la lave en fusion coulait probablement dans ses veines désormais. Elle n'avait pas souvenir d'avoir jamais été aussi excitée. Elle était toujours désorientée mais elle ne s'en souciait plus trop pour le moment. Elle se contentait de caresser la verge de l'inconnu, espérant qu'elle viendrait ensuite calmer sa brulante ardeur. Affairée à cette tache, Hermione ne sentit pas tout de suite qu'une autre main se poser sur la peau satinée de sa seconde cuisse. Evidemment, se dit-elle, il ne pouvait pas n'y avoir qu'un seul homme dans toute la salle de cinéma. Mais elle sentit qu'elle n'avait plus peur. Au contraire, un second partenaire ne lui semblait pas de trop pour venir à bout de l'incendie qui se répandait dans son corps. Sans qu'on la sollicite, Hermione envoya son autre main vers l'entrejambe du nouveau participant et ne fut pas surprise de trouver le sexe bien dressé hors du pantalon. Elle s'en empara vivement et le fit lentement coulisser entre ses doigts.

Les doigts dans son intimité se firent plus inquisiteurs et plus rapides. Elle même augmenta la cadence sur les deux tiges de chair tout en ondulant du bassin sous leur impulsion. Hermione ne put empêcher des gémissements de franchir ses lèvres. Bien qu'elle se sentait partir dans un vrai délire sous ses désirs brulants, elle était encore assez lucide pour se douter que ce genre de manifestations bruyante en un tel lieu allait considérablement attirer l'attention. Ainsi ne fut-elle pas surprise de voir deux bras passer au dessus de ses épaules pour venir malaxer ses petits seins à travers sa nuisette.

Que ce soit celui qui fouillait son sexe, celui qui caressait sa cuisse ou celui qui s'était emparé de sa poitrine, Hermione remarqua que les hommes agissaient avec rudesse. Mais comment pouvait-il en être autrement ? Elle se fit la réflexion d'être une gazelle perdue qui se serait approchée du territoire d'un groupe de lions. Forcément, la gazelle se faisait croquer sans que les lions ne se posent de questions.

Une ombre s'interposa entre elle et le film. Le spectateur qui se trouvait devant elle venait de se retourner à genoux sur son siège pour lui faire face. La lumière réfléchie par l'écran nimbait le personnage d'un halo blanc mais le contre jour rendait indécelable le moindre de ses traits. Toutefois, le mouvement vif de son bras ne laissait aucun doute au fait que l'inconnu se masturbait vigoureusement, préférant au film le spectacle en chair et en os. Hermione fit glisser ses pieds hors de ses pantoufles et se renfonça un peu dans son fauteuil pour faire passer ses jambes au dessus du dossier. L'homme cessa de se caresser pour laisser les orteils de la jeune fille prendre la place de sa main. Le spectateur qui caressait sa cuisse s'interrompit pendant qu'Hermione se repositionnait. Il ne manqua apparemment pas de s'apercevoir qu'ainsi, la jeune gryffondor offrait de nouvelles possibilités. Il posa sa main sur l'arrière de la cuisse et descendit doucement vers la petite fesse ronde qu'il savoura un instant. Tout en malaxant la chair ferme avec rudesse, il s'approcha du petit anneau nouvellement apparu pour y fourrer deux doigts sans plus de délicatesse.

Hermione tressaillit un peu sous l'intrusion mais elle n'eut pas le temps d'y penser plus avant car un membre viril vint se frotter contre sa joue. Le spectateur de derrière espérait apparemment faire connaissance avec les lèvres appétissantes de la jeune fille et celle-ci tourna docilement la tête pour prendre le pieu de chair en bouche. Les mains de l'homme quittèrent alors sa poitrine pour s'emparer de sa tête et l'immobiliser. Il avait l'intention d'aller et venir entre les lèvres de la jeune fille à son rythme sans que celle-ci aie son mot à dire. Elle se contenta donc de caresser de sa langue le membre mouvant dans sa bouche. Pendant ce temps, les deux hommes sur ses côtés s'étaient à leur tour emparés de la jeune poitrine de leurs mains libres. Ils abaissèrent la nuisette juste assez pour faire apparaitre les petits seins fermes et soyeux dont leurs bouches se délectèrent aussitôt.

La jeune fille n'avait plus beaucoup de marge de manoeuvre. Elle avait l'impression d'être utilisée comme une poupée. Et elle trouvait cela étrangement confortable de n'avoir rien à faire et de laisser les autres décider de tout. « Peut être ai-je des pré-dispositions pour la soumission, pensa-t-elle. De toute façon, il n'y aura jamais un meilleur moment que celui-ci pour le savoir ». Elle s'abandonna donc aux désirs des hommes, curieuse de voir ce qui arriverait.

Qu'ils aient senti les dernières résistances de la jeune fille tomber, ou bien qu'ils se soient soudainement décidés tous ensemble sans rien dire, les spectateurs s'arrêtèrent tous leurs divers mouvements à l'encontre de leur jeune partenaire et la firent se lever. Les mains la débarrassèrent vivement de sa nuisette et de sa petite culotte. Aussitôt qu'elle fut complètement nue, les hommes la mirent à genoux sur son siège.

Elle se retrouva face au membre de l'inconnu qu'elle avait caressé de ses pieds. Celui-ci s'enfourna avec rudesse dans la petite bouche docile mais il laissait la belle aller et venir sur tout le long de son manche. Les autres n'étaient pas en reste. Hermione sentit celui qu'elle avait sucé auparavant passer par dessus le dossier du siège pour caresser son joli petit cul tandis que les deux autres avaient à nouveau guidé ses mains sur leurs pieux de chair respectifs. Pendant qu'elle s'emparait à nouveau des deux mats toujours aussi durs et qu'elle reprit ses caresses, l'homme derrière elle écarta ses petites fesses rondes pour que son gland se fraie un passage jusque sur son anus. Là, il se pressa tout contre, entrant en elle avec lenteur, non qu'il n'était pas empressé, mais parce que la demoiselle n'était pas dans une position facilitant l'insertion. Pendant ce temps, les deux autres caressaient fougueusement la jeune poitrine de la belle et avait chacun inséré deux doigts dans son intimité. Enfin, l'inconnu entra pleinement dans le petit derrière et se mit à donner de vigoureux coups de boutoirs.

Hermione n'y avait pas gagné beaucoup de liberté d'action mais elle essayait de faire au mieux. Elle utilisait le peu d'élan qu'elle pouvait se permettre pour ruer aussi fort que possible sur le membre fiché dans son anneau secret. Ce même élan lui permettait d'aller et venir furieusement sur le savoureux pénis qui coulissait entre ses lèvres et cette vigueur bénéficiait également à la masturbation frénétique de ses voisins. L'adolescente poussait des râles de plaisirs étouffés tandis que les mains tentaient de lui faire encore augmenter la cadence. Hermione ne se souvenait pas d'avoir jamais senti un désir aussi brulant dans ses entrailles.

Le premier à abdiquer fut celui de derrière. Sans faire cesser les mouvements frénétiques de la jeune fille sur son membre, il se répandit dans le dos de la demoiselle. Au moment où il se retirait, ce fut au tour de l'homme qui était devant. Contrairement à son prédécesseur, il immobilisa sa partenaire et se ficha dans sa bouche jusqu'à la garde où il laissa sa semence envahit la gorge d'Hermione. Celle-ci dut presque se débattre pour qu'il la lâche enfin et puisse à nouveau respirer.

Elle n'eut le temps de prendre qu'une gorgée d'air que son voisin de droite la prit par les hanches et la souleva sans difficulté. Il la ramena à lui et l'abaissa sur son mat sans autre considération. La jeune fille poussa un hoquet de surprise lorsqu'il pénétra son abricot juteux mais elle se mit aussitôt à monter et descendre le long du membre vigoureux. Son nouvel amant s'empara de ses petits seins et les malaxa rudement. Le dernier homme s'approcha à son tour et se positionna devant la jeune adolescente. Il ramena tous les cheveux de celle-ci sur sa nuque afin de pouvoir les tenir d'une seule main et lui permettre de manipuler la tête d'Hermione comme celle d'une simple marionnette. Il la fit pencher en avant et entra entre les lèvres déjà ouvertes.

Après le traitement qu'elle avait subit, la belle ne fut plus longue à crier son plaisir. Elle sentit son corps vibrer sous la jouissance et s'arrêta pour mieux profiter de ses sens. Mais les hommes n'en avaient pas encore terminé avec elle et ils la forcèrent à reprendre aussitôt ses allées et venues.

L'inconnue qui lui faisait face quitta sa bouche pour poser sa virilité entre les deux petits seins. Avec toute la docilité attendue, Hermione les pressa l'un contre l'autre et fit coulisser le membre sur sa peau satinée. Sa poitrine contenait à peine le mat vigoureux. L'homme ne s'y était de toute façon installé que pour parachever sa jouissance et il recouvrit la gorge de la jeune fille de son nectar. Le dernier spectateur la tenait par sa taille fine et imposait ainsi à l'adolescente un rythme soutenu sur son pieu de chair. Lorsqu'il appuya sur ses hanches pour la faire stopper, fiché au plus profond d'elle, Hermione savait qu'il en avait également terminé. Elle sentit une chaude rivière se répandre dans son ventre.

Sans plus de considération que pendant l'acte, l'homme la souleva et la réinstalla sur son siège. Rassasiée, ses sens enfin apaisés, la jeune fille n'en avait que faire. Son dernier souci était de se lancer un sort de prévention et elle chercha sa nuisette à tâtons sur le sol pour récupérer sa baguette. Puis elle eut une révélation. Sa nuisette n'ayant pas de poche, elle n'avait pas pu prendre sa baguette magique. L'horreur s'insinua en elle. Hermione se rendit compte qu'elle venait d'avoir des rapports avec quatre inconnus sans avoir un quelconque moyen de contraception, et pire, aucun moyen de se prémunir contre une quelconque maladie sexuellement transmissible.

 

invention reve

 

L'adolescente commença à paniquer. Bien qu'elle savait que cela ne menait à rien, elle retourna sa nuisette dans tous les sens, se disant intérieurement qu'elle n'avait pas pu être aussi stupide. Mais il fallait se rendre à l'évidence, elle ne savait déjà pas comment elle était arrivée ici, elle n'avait donc pas choisit ce qu'elle emmènerait avec elle. Hermione sentit les larmes lui venir. Elle devait partir d'ici, vite, et retourner au terrier pour retrouver sa baguette en espérant qu'il ne serait pas trop tard pour lancer le sort. Ce qui n'aurait su être le cas. Elle chercha la sortie des yeux mais fut à nouveau horrifiée. Tout autour d'elle se tenaient des ombres. Les autres spectateurs de la salle s'étaient rassemblés et lui bloquaient tout accès. Ils n'avaient apparemment aucune envie qu'elle s'en aille.

La jeune fille tenta le tout pour le tout et fonça tête baissée, essayant d'écarter les inconnus de sa route avec toutes les forces qui lui restaient. Mais sa tentative était vouée à l'échec et de nombreuses mains s'emparèrent d'abord de ses bras et de ses jambes avant d'immobiliser tout son corps. Elle tentait encore de se débattre avec l'énergie du désespoir mais on la maintenait fermement.

 

_ Hermione !

 

Une voix retentit dans la salle. Elle semblait provenir de l'écran. L'adolescente jeta rapidement un regard dessus. Il était totalement blanc et dégagé une lumière aveuglante.

 

_ Hermione ! Réveille-toi !

_ Bon, pas la peine d'insister. Ecarte-toi !

 

Hermione entendit un vague sifflement puis la lumière envahit la pièce toute entière, chassant les ombres. Puis elle régressa et un visage plein de taches de rousseur et surmonté de cheveux roux l'observait.

 

_ Hermione, ça va ?

 

Pendant un instant, elle voulut répondre non. Puis elle reconnut Georges et lui sauta au cou.

 

_ Argh ! Doucement !

_ Ce truc n'est pas encore au point. Il faut qu'on trouve un moyen de le faire arrêter avant que ça n'aille trop loin.

 

La jeune fille releva la tête de l'épaule de Georges et vit Fred qui examinait la boite de « Eronirique » qu'elle avait pourtant cachée.

 

_ Nous aurions été heureux de t'échanger ce produit contre le « rêve éveillé » que tu devais prendre à la base, si tu nous l'avais demandé et si nous avions finit de travailler dessus. Comme tu l'as apparemment remarqué, il nous reste quelques finitions. Tu as de la chance que maman nous ait ordonné de venir récupérer nos téléscopes avant que d'autres personnes se blessent. Nous sommes les seuls à connaître la formule pour arrêter les rêves préfabriqués.

_ Désolée.

 

Hermione n'était pas très sincère en disant cela. Bien sûr, quelque part, elle ressentait un peu de culpabilité et de honte d'avoir emporté l'article sans permission, mais cela était noyé par un intense sentiment de soulagement. Elle avait eu vraiment peur. Elle en tremblait même un peu mais maintenant, elle sentait son corps se réchauffer peu à peu.

 

_ Quand on est arrivé, Ginny se demandait pourquoi tu n'étais pas encore levé, reprit Georges. Mais tout le monde voulait te laisser dormir. Sauf que nous savions que tu étais censée avoir un « rêve éveillé » et j'avoue que nous ne les avions pas testé au moment de s'endormir. On s'est donc dit que tu avais peut être fait une erreur et on a voulu vérifier en prétextant aller voir nos vieilles affaires.

_ On a écouté à la porte et on entendait des bruits bizarres. On a eu un peu peur et on est entré. Mais en fait tu... euh.. enfin tu gémissais quoi.

 

La jeune fille sentit le rouge lui monter aux joues. En même temps, la chaleur de son corps monta d'un cran. Elle se rendit compte en un instant qu'elle était à moitié nue devant deux garçons, tenant toujours fermement l'un d'eux contre elle, qui l'avaient surpris en plein rêve érotique.

Fred avait été gêné de raconter leur entrée mais il continua son histoire.

 

_ Bref, quand on a comprit que tu dormais vraiment, on a cherché la boite de « rêve éveillé » pour savoir si tu l'avais utilisé. Mais on a finit par trouver cette boite là.

 

Il tendit la boite de « Eronirique ». Hermione s'imagina un instant les deux frères faisant des fouilles dans un silence gêné à côté d'une fille en pleine extase. Dans ses bras, Georges ne faisait plus le moindre mouvement et n'avait plus prononcer le moindre mot depuis un certain temps. La chaleur qu'elle ressentait s'installa obstinément dan son ventre et, inconsciemment, elle resserra son étreinte.

 

_ C'est à ce moment-là que tu as commencé à t'agiter franchement. On a tout de suite compris que ton rêve virait au cauchemar. Tu te serais bien réveillée toute seule à un moment mais on avait peur que tu finisses par te faire mal. On a d'abord essayé de te réveiller en douceur mais rien n'y a fait. Alors j'ai lancé le sort de réveil.

 

Hermione détendit ses bras autour de Georges qui sembla respirer de nouveau.

 

_ Alors je suppose que je dois vous remercier, fit-elle.

 

L'adolescente se pencha sur Georges et l'embrassa fougueusement. Surpris, celui-ci ne répondit pas tout de suite.

 

_ Euh... Hermione..., fit timidement Fred derrière elle, il est fortement possible que ce que tu ressentes soit un contre coup de la potion et... enfin... nous ne voudrions vraiment pas profité de la situation tu sais...

_ Pour mon envie soudaine, d'accord, répondit-elle en quittant les lèvres de Georges. Mais votre produit embrouille aussi l'esprit.

_ Un peu, lança Georges d'une petite voix. Mais jusqu'à présent tout les tests montrent que, quelque soit la façon dont on est éveillé, on reprend ses esprits aussitôt.

_ Alors je suis bien consciente de ce que je fais et j'en ai envie maintenant. En plus on a vécu assez longtemps tous les trois à Poudlard pour que vous sachiez que je suis toujours franche dans ces cas-là.

 

Hermione se pencha à nouveau sur Georges qui, convaincu cette fois-ci, répondit aussitôt à son baiser. Fred vérifia que la porte était bien fermée avant d'aller s'assoir derrière la jeune fille.

Tandis que les deux frères la caressait avec douceur, ce qu'elle appréciait après la rudesse de son rêve, elle se mit à masser sans vergogne les bosses qui se formaient sous les pantalons des jumeaux. Puis, tandis qu'elle échangeait des baisers avec l'un et l'autre, elle ouvrit les braguettes et fit sortir les deux tiges bien dures qu'elle masturba lentement. Fred avait glissé l'une de ses mains dans le corsage de la belle et savourait la tendresse de sa jeune poitrine en posant de petits baisers sur sa nuque et ses épaules soyeuses. Georges avait faufilé sa main sous les couvertures pour parcourir la douceur de ses cuisses.

Il se rapprochait peu à peu de l'intimité de l'adolescente et finit par retirer la petite culotte qui le gênait dans ses ambitions. Lorsqu'il commença à agacer le bouton d'amour, la jeune fille poussa un petit cri.

 

_ Attendez !

 

Elle rejeta les couvertures et se leva brusquement, laissant les deux garçons avec un grand désarrois. Hermione s'approcha de la chaise sur laquelle elle avait posé ses affaires de la veille et tâta la poche de son jeans. Ouf ! La baguette magique était bien là. Rassurée, elle se tourna vers les jumeaux.

Elle éclata de rire en voyant leur air dépité, leurs membres à l'air. Puis elle fit doucement glisser les fines bretelles de sa nuisette sur ses épaules et celle-ci se retrouva à terre.

 

_ C'est bon, tout va bien. Amusons-nous !

 

L'adolescente retourna vers le lit et positionna son corps gracile face aux deux frères. Ceux-ci, rassurés à leur tour, s'avancèrent légèrement, juste assez pour que leurs langues viennent savourer le doux coquillage de la belle. Devant le double intérêt que l'on portait à son intimité, Hermione sentit la chaleur de son ventre la bruler jusqu'à la gorge. Elle frémissait tandis que les jumeaux, tour à tour, exploraient les profondeurs de son sexe ou malaxaient son bouton d'amour entre leurs lèvres. La jeune fille dut s'accrocher aux épaules de ses fougueux partenaires pour ne pas défaillir.

Georges laissa son frère seul face au plus précieux trésor de la douce et fit remonter sa langue le long du ventre pour aller glisser sur la délicieuse poitrine. Il s'y attarda un peu, mais se leva complètement pour aller goûter à nouveau les lèvres d'Hermione. Celle-ci l'accueillit avec passion et envoya sa langue rencontrer sa consœur qui avait parcouru un si doux chemin. Puis l'adolescente quitta les lèvres du garçon et s'agenouilla au sol, face à Fred. Elle sentit Georges passer derrière elle et s'agenouiller également tandis qu'elle s'emparait du membre de son frère pour le masturber tout en couvrant le gland des caresses de sa langue. Des mains se posèrent sur ses petites fesses et jouèrent un peu avec, appréciant l'élasticité de la peau ainsi que sa grande douceur.

Georges s'empara de ses hanches de la belle et présenta son membre devant l'intimité impatiente qu'il caressa un peu de son extrémité sensible avant d'y pénétrer enfin. Hermione poussa un gémissement de satisfaction alors que le garçon entamait ses coups de boutoirs. Avec un petit regard coquin pour Fred, elle descendit sa langue sur les bourses de ce dernier en augmentant la cadence de ses caresses sur son pieu de chair.

La jeune fille commençait à sentir son désir devenir plaisir. Elle se mit à aller au devant du membre qui allait et venait dans son ventre et elle fit bénéficier le second de ces mouvements en le prenant en bouche.

 

_ Et bien ma belle, fit Georges en grognant, C'est la grande forme dès le lever.

_ Ouais, approuva Fred entre deux gémissements de plaisirs. La formule dure un rien trop longtemps.

_ On va devoir employer notre technique spéciale.

 

Hermione n'écoutait la conversation que d'une oreille. Elle était ouverte à tout, de toute façon.

Aussi elle n'eut aucune appréhension lorsque George se ficha complètement en elle et entoura sa taille fine de ses bras. Tandis que Fred se dégageait de sa bouche savoureuse, la jeune fille se sentit soulevée et partir en arrière. Elle se retrouva assise sur Georges (le pieu de chair toujours profondément ancré dans son intimité) qui était lui-même assis sur le lit de Ginny. Georges s'allongea en travers du matelas et attira le dos de l'adolescente contre son torse. Elle comprit ce qui arrivait lorsque Fred se pencha face à elle. Les doigts des garçons jouèrent sur l'élasticité de ses lèvres intimes pour que le second membre vienne rejoindre son jumeau dans le sanctuaire des sanctuaires. Herimone enserra les hanches de Fred avec ses jambes pour offrir une meilleur position mais elle grimaça néanmoins lorsqu'il se pressa contre la place déjà occupée. Avec dextérité, et probablement une certaine expérience de la chose, les frères réussirent à se retrouver tous les deux dans le ventre de leur partenaire.

Le premier choc passé, Hermione sentit le plaisir revenir à grands pas. Tandis que Fred commençait des vas et viens en douceur, elle se mit à onduler des hanches. Georges, se contentait de caresser le corps de la jeune fille, n'ayant pratiquement aucune marge de manœuvre. Le trio s'enfiévra rapidement à nouveau. L'adolescente crut devenir folle de plaisir, partagée entre la tendresse des caresses de Georges et la fougue de Fred. Elle haletait en se retenant à grande peine de crier son extase.

Fred donna un dernier coup de rein avant de se libérer dans le ventre de leur amante. Il s'écroula ensuite sur le côté, laissant les deux autres finirent tranquillement. Hermione se redressa et se retrouva à chevaucher Georges qui admirait le parfait petit cul de la belle monter et descendre sur son pieu de chair. La jeune fille n'eut pas à se démener longtemps. Son partenaire grogna et libéra un flot chaud et épais dans son intimité. Elle sentit la jouissance s'emparer de son corps et prit sur elle pour ne pas l'exprimer bruyamment. Puis elle se laissa tomber à son tour sur le matelas.

Les garçons l'embrassèrent et la caressèrent tendrement pendant que chacun reprenait son souffle, puis Georges fit remarquer que Ginny était peut être patiente mais qu'elle finirait tôt ou tard par monter pour voir si tout allait bien. Les trois jeunes gens se levèrent donc et s'habillèrent. Hermione n'oublia pas de se jeter un sort de prévention puis ils quittèrent la chambre. Les jumeaux montèrent chercher leur matériel tandis que l'adolescente descendait à la cuisine.

 

_ Enfin te voilà, fit Ginny en la voyant arriver. Tu étais bien fatiguée apparemment.

 

La petite rousse se trouvait dans un fauteuil et lisait tranquillement. Harry et Ron étaient de corvée de vaisselle et ne lui accordèrent qu'un « bonjour » avant de se remettre à la tâche.

 

_ J'ai... euh... eu du mal à m'endormir, répondit Hermione tout en réfléchissant. Je crois que je ne me dépense pas assez ces jours-ci, je vais me coucher sans être vraiment fatiguée. Je pense aller faire une longue promenade cet après-midi.

 

Mrs Weasley lui apporta une tasse de thé d'un air bienveillant avant d'aller retourner éplucher quelques légumes. Ginny posa son livre et vint s'assoir à côté de son amie.

 

_ Où veux-tu aller ? Je connais de belles balades dans la campagne alentour, je peux te montrer. Sauf si tu préfères être seule, je comprendrai.

 

Hermione but une gorgée de thé puis s'approcha de l'oreille de la petite rousse pour lui parler à voix basse.

 

_ Est-ce qu'il y a une pharmacie au village ?

 

Ginny ne comprenait pas pourquoi son amie prenait un ton si prudent mais elle lui répondit de même.

 

_ Oui.

_ Alors j'aimerai y faire un tour.

_Tu as un problèmes ? S'enquit la jeune Weasley. Tu sais on a probablement ici une potion qui pourrait t'aider, tu n'as qu'à me dire.

 

Hermione s'assura bien que personne n'écoutait avant de répondre.

 

_ Je voudrai acheter des préservatifs.

 

Ginny fit une tête étonnée. Elle savait à peu près ce qu'était des préservatifs, et elle savait surtout que dans le monde des sorciers, ils étaient inutiles.

 

_ Mais... pourquoi ?

_ Juste au cas où. J'ai pensé récemment que l'on était jamais assez prudent.

 

Hermione finit son thé d'un trait puis se leva.

 

_ En fait, j'aimerai bien me promener maintenant, déclara-t-elle à toute la cuisine. Tu viens avec moi Ginny ?

 

La petite rousse resta perplexe un instant. Puis elle lui sourit et acquiesça avant de se lever à son tour. Les deux jeunes filles sortirent de la maison et prirent le chemin vers le village avec empressement.

Par poudlardsecret - Publié dans : Histoires avec Hermione
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